Sylvain

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Total : 2209 cartes
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Chaque année, le Festival de Poupet suscite un enthousiasme incroyable, et cette édition n’a pas dérogé à la règle. En seulement 15 minutes, les 30 000 places, à 44€/place, ont été vendues, laissant une foule de fans sur le carreau, déçus de ne pas avoir pu décrocher leur précieux sésame.

L’équipe du festival n’a pas manqué d’exprimer son émotion face à cet engouement hors norme :
“Nous avons du mal à imaginer… et nous sommes surtout conscients du nombre de déçus !! Nous sommes terriblement désolés. Votre engouement nous motive aussi… On se remet au travail pour vous préparer une dinguerie à la hauteur de votre motivation !”

Mais malgré les mots d’excuse et de réconfort, de nombreux fans ont partagé leur frustration et leur incompréhension sur les réseaux sociaux. Entre déception et suggestions d’amélioration, les réactions ne manquent pas.

Un sentiment de loterie pour certains

De nombreux témoignages décrivent un système de réservation imprévisible :
• “Quand je vois que certains étaient connectés une heure avant et n’ont pas réussi à avoir des places… Je me suis connectée quelques minutes avant l’ouverture et j’ai réussi. Rien à voir avec le temps d’attente.”

Pour certains, le processus ressemble davantage à une loterie qu’à une course à la connexion.

Des achats en masse critiqués

La possibilité d’acheter jusqu’à 10 places par carte bancaire a également suscité des critiques :
• “Festival de Poupet, il faudrait revoir la jauge ! Ça ne donne pas beaucoup de chances à tout le monde. Tout ça pour faire carton plein le plus vite possible.”

Certains estiment que ce système favorise la revente abusive de billets, et réclament des mesures comme celles appliquées dans d’autres festivals :
• “Il faudrait limiter l’achat des places comme pour le Hellfest.”

Un accès au paiement problématique

Pour d’autres, la frustration est venue d’un blocage au moment décisif :
• “Dégoûté, j’avais mes 5 places pour la famille et je n’ai pas pu accéder au paiement pour entrer mes coordonnées bancaires.”

Un système de préventes peu transparent ?

Une autre remarque concerne la disponibilité des places en prévente via certains CE d’entreprise, une information que l’organisation n’avait pas largement communiquée. Un détail qui a accentué le sentiment d’injustice chez certains spectateurs.

Des déçus qui tournent la page

Pour plusieurs fans, cette expérience a été la goutte de trop :
• “Comme beaucoup, je suis dégoûté. Pour moi, c’est terminé, XXL Poupet. Je n’ai plus envie d’y retourner.”
• “Dommage pour nous, on ne fera pas une quatrième année de suite. Bonne soirée à tous ceux qui ont eu la chance d’avoir leur sésame.”

Des améliorations nécessaires pour le futur

Face à cet engouement massif et aux critiques qui l’accompagnent, le Festival de Poupet pourrait envisager quelques ajustements pour l’avenir :
• Limiter le nombre de places par commande.
• Mettre en place des files d’attente numériques mieux structurées.
• Communiquer plus clairement sur les éventuelles préventes.

Malgré tout, l’équipe du festival reste mobilisée et promet une édition exceptionnelle. Les fans peuvent également se consoler en rejoignant d’autres événements liés au festival, notamment DJ Snake, qui promet de faire vibrer le public.

Le succès du Festival de Poupet est indéniable, mais pour certains, cette incroyable popularité est aussi devenue un obstacle à leur participation.

Rendez-vous l’année prochaine, avec l’espoir d’une meilleure expérience pour tous !

https://www.facebook.com/share/18Q17Ydob7/?mibextid=wwXIfr
16/01/2025
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L’hôpital de Cholet (Maine-et-Loire) déclenche ce lundi 6 janvier 2025 le niveau 2 de son plan blanc pour faire face à l’afflux de patients aux urgences. En cause ? L’épidémie de grippe, covid et virus respiratoire syncytial qui frappe actuellement le territoire.
10/01/2025
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-50% sur la papeterie, les cadeaux et les beaux-arts
10/01/2025
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Victor Bouyer s’est éteint brutalement lundi à l’âge de 76 ans. Correspondant local du Courrier de l’Ouest depuis 2002, il était aussi un expert de l’histoire des Mauges, sur laquelle il a écrit de nombreux ouvrages. Ses obsèques seront célébrées vendredi.
09/01/2025
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Vous avez la grippe et vous vous demandez combien de temps durent la maladie et les symptômes qui vont avec ? Réponse.
08/01/2025
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Oui, ça marche toujours : bon look = bonne personnalité.

Mais absolument rien ne le garantit.

Je ne vois pas le côté hilarant d’une telle histoire sauf si on la découvre avec des yeux d’enfant.

C’est un comte de fée aussi court que le film La belle au bois dormant, toute proportion gardée.

On verra la qualité de leur relation dans la durée.

En ne l’attendant pas puisque personne d’entre vous ne veut suivre leur histoire future, voici le buzz, donc éphémère…

Une mère célibataire a partagé sur TikTok l'histoire hilarante de sa rencontre avec un papa célibataire de l’école de ses enfants. Entre repérages et l'aide discrète du personnel de l'école, leur romance est devenue un conte de fées moderne.
06/01/2025
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Anthony Bourbon, entrepreneur français, qui s’est fait connaître au grand public dans l’émission « Qui veut être mon associé » est invité du média social (on ne trouve les vidéos que sur les réseaux sociaux) Legend, créé par Guillaume Pley.

Le format principal de Legend consiste à réaliser des interviews approfondies de personnalités divergentes, allant de célébrités aux figures politiques.

Libre à chacun de juger le caractère « approfondi » des questions et de la répartie de l’animateur.

Cette courte vidéo (short) extraite de son passage sur Legend nous montre un Anthony Bourbon qui exprime une réelle satisfaction sur le « carnage » à venir d’Elon Musk dans l’administration américaine.

Même satisfaction au sujet du carnage social opéré par le même Elon Musk lorsqu’il a licencié 70% des employés de Twitter dès sa prise de pouvoir.

Dans la même émission, Anthony Bourbon affirme que les entrepreneurs français vont prendre le pouvoir politique en 2032. Il explique aussi sa vison de l’enfant jusqu’à l’âge de 7 ans : «  ça pleure », « plus de contraintes que d’avantages »…
https://youtube.com/shorts/TXIITO_t2Fw?si=WbR0VnOkOmQO4Mwe
05/01/2025
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Ce n’est pas tant que les maires comme le maire de Cholet (Maine-et-Loire) Gilles Bourdouleix annulent mais comme expliqué dans le reportage, c’est un moyen de faire des économies et de contester la suppression de subventions de la Région
02/01/2025
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Je vous souhaite une année 2025 remplie de moments de sens, de partage, d'empathie et de réussite dans vos relations sociales, qu'elles soient amicales, parentales, amoureuses ou professionnelles.

Ensemble, faisons de cette année une période où chacun trouve sa place, où chacun est reconnu et considéré pour qui et ce qui il est.

Que chacun soit bien vu 😉
02/01/2025
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"Personne n'est venu" dans les bidonvilles: un professeur interpelle Élisabeth Borne, en visite à Mayotte

Deux professeurs interpellent Élisabeth Borne, en visite à Mayotte, qui a commencé à écouter pour finir par un « ok », et partir alors que l’un des deux professeurs expliquait que des locaux n’avaient pas reçus les produits distribués.

Voir la vidéo BFMTV : https://x.com/bfmtv/status/1873690320015159419?s=46
31/12/2024
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Sanctionné pour avoir porté un jean, Magnus Carlsen a obtenu gain de cause: la Fédération internationale des échecs a annoncé un assouplissement des règles vestimentaires pour les championnats du monde. Permettant le retour de Carlsen.
30/12/2024
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L’éducation de nos enfants est un pilier fondamental de leur développement, mais que faire lorsque le système d’enseignement semble parfois rigide, sourd à leurs besoins spécifiques, et peu valorisant ?
Voici une expérience personnelle qui, au-delà de l’anecdote, pose des questions essentielles sur la collaboration entre parents et enseignants.

L'histoire : un cahier, deux lettres et une initiative parentale

Mon fils, élève en primaire et enfant précoce, avait un cahier scolaire révélateur. Ses efforts y étaient souvent réduits à une simple annotation : "TB" ou parfois rien du tout. Pas de commentaires pour souligner son travail, pas de mots pour nourrir sa fierté ou encourager son élan.

Un jour, pourtant, il avait pris le temps de soigner la présentation d’un exercice, soulignant même le titre de son propre chef. L’initiative, bien que non demandée par l’enseignante, aurait mérité un mot d’encouragement. Au lieu de cela, il reçut une remarque cinglante, rédigée en rouge, tellement appuyée qu’elle marquait les pages suivantes.

Face à cette injustice, j’ai décidé de réagir. Sur les pages suivantes du cahier, là où mon fils avait travaillé sans faute, j’ai pris soin d’écrire moi-même des remarques positives, soulignant ses réussites, ses efforts et sa créativité. Une simple action, motivée par l’envie de combler un vide dans l’enseignement.

La réponse institutionnelle : "on n’a jamais vu ça"

Ce geste n’a pas été sans conséquences. Quelques jours plus tard, je me suis retrouvé convoqué par le recteur de l’académie. Ce qui m’a interpelé, c’est que l’institutrice n’a jamais pris le temps de me contacter directement. Plutôt que de discuter de ma démarche ou d’exprimer ses réserves, elle en a référé immédiatement au recteur.

Pire encore, le recteur, au lieu de m’appeler pour échanger sereinement, m’a fait venir en personne, comme si mon geste relevait d’une faute grave. Sa première remarque, presque désapprobatrice, fut : "On n’a jamais vu cela."

Ma réponse fut spontanée : "On n’a jamais vu l’équipe de France de football gagner la Coupe du Monde avant 1998., comme quoi, tout arrive !"

Je poursuivis avec une question simple mais essentielle : "Encourager son fils n’est-il pas dans son intérêt ? Pourquoi l’institutrice aurait-elle l’exclusivité de la reconnaissance, surtout si elle la réduit à deux lettres ?"

Le recteur, visiblement décontenancé, m’a conseillé de "mettre de l’eau dans mon vin". Mais je lui ai répondu avec détermination : "J’aurai toujours des mots pour reconnaître ce que mon fils fait de bien."

Les mots : moteurs ou freins pour les enfants ?

Les mots, qu’ils soient écrits ou prononcés, jouent un rôle fondamental dans la construction de l’estime de soi des enfants. Un commentaire positif peut transformer un effort en victoire personnelle ; à l’inverse, une remarque sèche ou l’absence de retour peut inhiber leur motivation.

Pour un enfant précoce, souvent en quête de sens, le besoin de reconnaissance est encore plus grand. Un "TB" dépourvu de contexte ou de chaleur humaine ne suffit pas. Ils ont besoin de se sentir compris, valorisés dans leur singularité, pour continuer à s’investir pleinement.

Un système d’enseignement parfois rigide

Cette expérience révèle aussi les limites d’un système d’enseignement souvent figé dans ses habitudes. Certains enseignants, par manque de temps ou de formation, privilégient une approche minimaliste et standardisée, sans toujours considérer les besoins évidemment essentiels des élèves.

Mais ce qui est plus problématique encore, c’est l’idée que les parents n’auraient pas leur place dans l’enseignement scolaire. En écrivant dans le cahier de mon fils, je n’ai pas voulu remettre en cause l’autorité de l’enseignante. J’ai simplement complété ce qui manquait pour le bien-être de mon enfant.

Le rôle des parents : un complément indispensable

Être parent, c’est soutenir son enfant, l’encourager et l’accompagner dans ses réussites comme dans ses échecs. Ce rôle ne s’arrête pas à la porte de l’école. Les enseignants et les parents devraient collaborer, plutôt que de s’opposer, pour offrir un cadre complet et bienveillant aux enfants.

Une leçon à retenir
Aujourd’hui encore, cette expérience reste gravée dans ma mémoire. Elle m’a appris une chose essentielle : il ne faut jamais avoir peur de défendre son enfant, même face à un système qui semble inflexible.

Et si nous repensions l’enseignement comme un partenariat, où chaque acteur – enseignants, parents, et même enfants – aurait sa place pour construire ensemble des générations épanouies, confiantes et motivées ?

Il est temps de poser cette question et d’agir. Parce que valoriser nos enfants, c’est leur donner les moyens de grandir en confiance et d’oser rêver.
28/12/2024
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Sylvain
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Des scientifiques californiens ont calculé que le cerveau humain traitait les informations à la vitesse “extrêmement” lente de 10 bits par seconde, alors que nos récepteurs sensoriels sont capables de traiter plus d’un milliard de bits dans le même laps de temps. Un contraste aussi “frappant” qu’“inexpliqué”.
28/12/2024
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Sylvain
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Un peu d’art, de cinéma et de gourmandises ! Pour le dernier week-end de l’année 2024, la rédaction de Ouest France a sélectionné trois idées de sorties à Cholet (Maine-et-Loire).
28/12/2024
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Dès janvier 2025, les entreprises de 11 à 49 salariés seront obligées de proposer un dispositif de partage de la valeur
27/12/2024
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En 2005, j’avais accepté, avec une naïveté confondante et une once d’espoir et de conviction, de participer à la messe de minuit de La Séguinière. Pas comme simple spectateur, non. J’étais le musicien, le technicien, et le créateur de l’ambiance visuelle et sonore. Une mission titanesque qui, rétrospectivement, aurait mérité un contrat en bonne et due forme ou au moins une prime de Noël. Spoiler : je n’avais eu ni l’un ni l’autre.

Le projet avait tout pour séduire au départ : une salle municipale vaste, un prêtre enthousiaste que je connaissais depuis mes années lycée (merci à l’aumônerie pour ses bons moments à gratter de la guitare), et un public d’environ 1 000 âmes. Équipé de mon arsenal — guitare, ordinateur, vidéo-projecteur, écran géant et câbles en tous genres —, j’avais mobilisé non seulement du matériel de qualité, mais aussi mes compétences multiples en musique, en informatique et en logistique événementielle. Le tout, bien sûr, bénévolement. Mon athéisme, qui aurait pu poser problème à certains, n’avait pas freiné mon engagement. Ironique, n’est-ce pas ?

Un diaporama divin, mais des partenaires pas très "catholiques"...

Pour l’occasion, j’avais minutieusement préparé un diaporama destiné à projeter textes et images fournis par l’Abbé Nédixion. Un travail méticuleux impliquant des heures de tri, de synchronisation et d’ajustements techniques pour que tout soit parfait.

Pourtant, dès la mise en place, des grains de sable avaient grippé la machine : la chorale avait décidé de chanter… dos au public. Il m'avait fallu des trésors de diplomatie pour leur expliquer que la voix, comme la foi, est destinée à s’élever vers les fidèles. Puis, cerise sur le gâteau sonore : le claviériste jouait sur un synthétiseur probablement désaccordé, à moins que son talent pour les fausses notes n’avait été volontaire.

Malgré tout, la soirée démarrait et, contre toute attente, le spectacle avait tenu la route. La guitare était juste, les chants presque harmonieux, la diffusion du diaporama impeccable. Les fidèles avaient marmonné les cantiques avec plus ou moins de conviction. Bref, la magie de Noël avait opéré… du moins jusqu’à la bénédiction finale.

Un miracle : l’exode instantanée des fidèles

Et là, patatras. Une fois le dernier « Amen » prononcé, les portes s’étaient ouvertes et un flot humain s’était échappé, aspiré par la nuit glaciale. En une minute à peine, la salle était vide. Mille fidèles s’étaient évaporés, sans un regard en arrière, prêts à se régaler de dinde et de bûche, à échanger des « Joyeux Noël ». Même l'Abbé Nédixion, maître de cérémonie, s’était éclipsé avec une vélocité digne d’un champion de sprint, à faire rougir Usain Bolt, non sans un rapide « Merci pour tout ! ».

Quant à moi ? Je m’étais retrouvé seul.
Abandonné dans cette immense salle froide à ranger, face à un chantier monumental : débrancher et enrouler des dizaines de câbles, débrancher la sono, ranger quelques chaises pour faciliter l’accessibilité au débranchement et à l’équipement, éteindre le vidéo-projecteur et démonter l’écran géant de 6 m2. Tout cela, avec pour seule compagnie un silence qui, à mesure que je travaillais, s’était transformé en reproche : mais pourquoi diable avais-tu accepté tout ça ?

La solidarité chrétienne ? Un mythe urbain

Deux heures plus tard, enfin de retour chez moi, je avais raté le dessert familial. L’esprit alourdi, je réfléchis. Que restait-il de la solidarité et du partage prônés pendant cette Messe ? Rien. Pas un fidèle pour m’aider, pas même un mot de soutien, une main tendue, un geste, un minimum d'empathie. Que dalle !
Tout cela avait conforté une conclusion personnelle déjà bien ancrée : l’athéisme me semble décidément plus honnête. Plutôt que de prôner des valeurs que l’on oublie dès la sortie de l’église, il convoque la responsabilité de nos actes et du monde qu’on laisse derrière nous.

Et la prochaine fois ?
Si je devais refaire une Messe de Minuit, je m’assurerais de prêcher une homélie percutante : « Celui qui range après la fête est plus proche du Royaume des Cieux. » Peut-être que là, on viendrait m’aider. Mais ne comptez plus sur moi pour revenir avec ma guitare, mon matériel ou ma foi en une solidarité illusoire.

Joyeux Noël, donc, à ceux qui savent que le véritable partage va au-delà des mots murmurés entre deux cantiques. Moi, je garde mon énergie pour des causes plus authentiques.
25/12/2024
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21/12/2024
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Ralenti par un marché du bâtiment en difficulté, l’industriel choletais, vaisseau amiral du groupe Aliaxis en France (1 200 salariés), a un nouvel homme à sa tête, Stéphane Baudena. Parcours, perspective, investissements… Cinq mois après son arrivée, le directeur général du spécialiste de la gestion des fluides fait le tour des sujets pour la première fois, dans les colonnes du Courrier de l’Ouest.
20/12/2024
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Je vous invite à découvrir cette vidéo qui explique très clairement le dossier dit "des indemnités des élus" de la Ville de Cholet. Il est primordial de rétablir la vérité.

Source du post X : https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1870150453343727670
20/12/2024
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J’aime bien cette émission où l’on ne cherche pas à faire des participants des stars et où les membres du jury ont un jugement argumenté pour chacune des prestations, contrairement à une émission comme The Voice où, publiquement, la bienveillance frôle la dictature.

Comme si la bienveillance consistait à ne dire que du bien et à nier les défauts, les fautes, les erreurs, ce qui ne tire pas les participants vers le haut, bien au contraire.

Dans l’émission Prodiges, les participants apprécient de recevoir des remarques constructives de la part des membres du jury.

Là où Prodiges rejoint les autres concours télévisuels, c’est dans l’autre concours : celui des SMS.

Si un seul gagnant de Prodiges touchera une bourse de 10 000€ qui aura nécessité des heures hebdomadaires d’entraînement sur plusieurs années, plusieurs gagnants au jeu SMS toucheront 10 000€ et plus.

On leur pose une question et ils doivent faire un choix parmi 2 réponses et envoyer leur par sms. Cela leur prendra 20 secondes.

Ce montant est à empocher plusieurs fois dans la soirée, sur plusieurs émissions.

Dans ce type de jeu télévisuel, on nous montre ainsi que la chance vaut plus que le travail et que le mérite.

Ceci dit, ceux qui travaillent leur art ont un gain sur le long terme en compétence et en estime de soi.
20/12/2024
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Présent à Cholet depuis 1936, le spécialiste de l’électronique de défense n’y construit pas seulement un second site. Il compte bien déménager toutes ses activités à la Touche d’ici à 2030, selon les informations du Courrier de l’Ouest.
19/12/2024
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Le Mémorial de la Shoah est un musée consacré à l'histoire juive durant la Seconde Guerre mondiale dont l'axe central est l'enseignement de la Shoah.
18/12/2024
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Monsieur Le Maire de Cholet Gilles Bourdouleix avec Cholet Agglomération et plusieurs élus et employés municipaux nourrissent les plateformes américaines en y communiquant plusieurs fois par semaine pour y faire l'éloge d'acteurs locaux de Cholet et du choletais. C'est une très bonne chose.

"Belle visite d'un des fleurons de l'industrie française dont le siège est à Cholet ! "
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1868606631271113149

"Vendredi soir, nous avons honoré les sportifs Choletais qui ont brillé cette année et les bénévoles des associations qui œuvrent pour le sport à Cholet ! "
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1863542213617058078

"Ce fut un plaisir d'inaugurer la nouvelle usine choletaise de la Fondation_AMIPI. Un rayon de soleil dans l'économie locale."
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1859655803562754474

"Visite très intéressante avec mon collègue Fred Pavageau du site choletais de LeRoy Logistique"
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1846237043900215526


Magistral AI (https://magistral.ai/fr/) et yaaKa (https://yaaka.fr/), bien qu'elles ne soient pas des fleurons industriels, sont deux plateformes numériques nées en plein centre-ville de Cholet et participent à l'écosystème numérique français.

Ne serait-il pas opportun de soutenir aussi ces projets qui incarnent l'esprit entrepreneurial et numérique local de Cholet ?

Consommons local !
18/12/2024
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13/12/2024
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Le centre-ville de Cholet s’enrichit d’une nouvelle table. Il s’agit d’Eden Health. Le restaurant, spécialisé dans les burgers et les bowls, ouvre ses portes ce jeudi 12 décembre, rue Nationale.
12/12/2024
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Le manque à gagner dû à la diffusion illicite de matches est estimé à 290 millions d’euros par an pour le secteur du sport, a indiqué ce jeudi l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, qui s’inquiète de la progression des IPTV pirates pour le football.
12/12/2024
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Sylvain
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À Cholet, elle s'est imposée comme une tradition. Pour la 19e fois, la crèche vivante de Noël s'installe dans la ville. Les deux premières représentations de ce spectacle, mis en scène par Patrick Pelloquet, directeur du Théâtre régional des Pays de la Loire (TRPL), et dont le texte est écrit de la main du député-maire Gilles Bourdouleix…
11/12/2024
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Ah, le millefeuille !
Ce dessert français à la fois majestueux et… redoutable.

Si la pâtisserie incarne souvent la douceur et l’élégance, le millefeuille, lui, se positionne en champion incontesté du chaos sucré. Croyez-moi, ce n’est pas un dessert, c’est une épreuve d’endurance et de patience !

Avec ses fines couches de pâte feuilletée dorée, sa crème pâtissière onctueuse et son glaçage délicat, le millefeuille semble nous murmurer à l’oreille : “Viens, savoure-moi. Je suis la perfection incarnée.”

Mais détrompez-vous, cet innocent dessert est une menace déguisée.
Dès la première tentative de découpe, vous réalisez qu’il aurait mieux valu venir armé(e)… d’un marteau-piqueur ou d’un doctorat en physique des fluides. Je ne suis même pas certain que le pâtissier qui l’a confectionné serait d’un quelconque aide.

On frôle l’arnaque !

La tradition veut que l’on attaque le millefeuille avec un couteau, un outil civilisé. Mais face à cette forteresse feuilletée, le couteau devient un simple bâton inutile. Vous appuyez, vous glissez, et soudain, la première couche de pâte feuilletée part en éclats. La crème jaillit sur votre assiette, vos doigts, voire sur la chemise immaculée de votre voisin de table. Vous avez beau essayer d’avoir l’air élégant, à ce stade, tout le monde sait que vous avez perdu.

Certains aventuriers tentent une approche audacieuse : attraper le millefeuille avec les mains, comme un burger. Erreur monumentale !
Le feuilleté croustillant s’effondre en mille miettes sous la pression, tandis que la crème se venge en s’échappant de tous les côtés. Vos mains collantes deviennent un témoignage silencieux de votre échec.

Alors, vous vous dites : “Je vais être stratégique.” Une bouchée à la fois, en finesse. Mais là encore, le millefeuille a prévu le coup. Dès que vous enlevez une couche, la gravité se joint à la bataille. Tout glisse, s’écroule, et se termine par un désastre esthétique qui ferait pleurer un chef pâtissier.

Le pire dans tout ça, c’est qu’on mange rarement un millefeuille seul. Non, il faut que ce soit lors d’un déjeuner en famille ou d’un dîner chic. Tout le monde vous observe, moitié amusé, moitié désolé. Vous essayez de sourire, la crème sur le bout du nez, une miette dans les cheveux, tout en vous demandant pourquoi vous n’avez pas pris une simple tarte aux pommes.

Malgré tout, une bouchée suffit pour vous réconcilier avec ce dessert maudit. La douceur de la crème, le croquant du feuilleté, la douceur sucrée du glaçage… C’est une explosion de bonheur en bouche.

Oui, le millefeuille est une guerre, mais c’est une guerre que vous êtes prêt(e) à perdre encore et encore.

Alors, la prochaine fois qu’on vous sert un millefeuille, souvenez-vous : ce n’est pas un dessert, c’est une aventure.

Et comme tout aventurier, n’oubliez pas de vous équiper. Peut-être d’une cuillère, peut-être d’un bouclier, mais surtout… d’une bonne dose d’autodérision.

Bon appétit !
11/12/2024
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Sylvain
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Une enquête de l’Ordre des infirmiers publiée ce mercredi 11 décembre indique que 53 % des infirmières françaises se déclarent victimes de violences sexistes et sexuelles. Et quatre victimes sur 10 n’ont pas entrepris de démarches de peur que cela nuise à leur carrière.
11/12/2024
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Dans cet épisode de Rhinocéros, retour sur la séquence médiatique autour de l’arrestation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal en Algérie. Entre discours sur la liberté d’expression et récupération politique, Usul et Lumi analysent pourquoi cette…
11/12/2024
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28k
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“Brain rot” (littéralement “pourrissement du cerveau”) est l’expression de l’année 2024 selon le dictionnaire Oxford. Mais est-ce qu’il s’agit d’une réalité ? De nombreux experts se sont penchés sur la question.
10/12/2024
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Sylvain
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La baguette est un aliment incontournable du petit-déjeuner en France. Découvrez où se vend la meilleure baguette selon 60 Millions de consommateurs.
09/12/2024
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Sylvain
Sylvain
Mauvaise nouvelle pour les propriétaires de biens immobiliers. Ceux-ci devront faire face à l’augmentation de la taxe sur les chaudières à gaz dès 2025 !
09/12/2024
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Sylvain
Sylvain
Suis-je multipotentiel ? Cet article vous donnera des informations sur les différentes particularités qui font des individus leur multipotentialité.
08/12/2024
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Sylvain
Classement des pays européens par âge moyen de départ du domicile familial

Suède : 19 ans
Danemark : 21 ans
Finlande : 21 ans
Estonie : 22,8 ans
France : 24 ans
Allemagne : 24,5 ans
Pays-Bas : 23 ans
Autriche : 25 ans
Portugal : 30 ans
Italie : 30 ans
Espagne : 30,4 ans
Grèce : 30,6 ans
Slovaquie : 31 ans
Croatie : 31,8 ans

Note : Ces données sont issues de diverses sources, notamment Eurostat et Statista, et reflètent les tendances observées jusqu’en 2023.

On observe que les jeunes des pays nordiques, tels que la Suède, le Danemark et la Finlande, quittent le domicile parental plus tôt, souvent avant 22 ans. À l’inverse, dans les pays d’Europe méridionale et des Balkans, comme le Portugal, l’Italie, l’Espagne, la Grèce, la Slovaquie et la Croatie, les jeunes restent généralement plus longtemps chez leurs parents, avec un âge moyen de départ autour de 30 ans.

En France, l’âge moyen de départ est de 24 ans, ce qui est relativement précoce par rapport à la moyenne européenne, estimée à environ 26,5 ans.

Plusieurs facteurs influencent ces différences :
• Contexte socioculturel : Les normes sociales et familiales varient selon les pays, influençant l’âge auquel les jeunes quittent le foyer parental.
• Situation économique : Le marché du travail, le taux de chômage des jeunes et le coût du logement jouent un rôle crucial dans la décision de partir du domicile parental.
• Politiques publiques : Les aides financières et les programmes de soutien à l’autonomie des jeunes diffèrent entre les pays, facilitant ou retardant le départ du foyer familial.

Ces éléments combinés expliquent les variations observées à travers l’Europe concernant l’âge moyen de départ du domicile parental.
07/12/2024
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Sylvain
Sylvain
La première utilité d’un comptoir de bar est de servir de point d’interaction entre les clients et le barman, permettant la préparation, la commande et le service des boissons ou des plats.

Il crée une séparation fonctionnelle entre la zone de travail du barman (où sont stockées et préparées les consommations) et l’espace des clients tout en offrant un espace où ces derniers peuvent s’appuyer, s’asseoir ou poser leurs consommations.

Il incarne également un espace convivial qui favorise les échanges sociaux.
06/12/2024
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Sylvain
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Docteur Kevin répond aux grandes questions et aux idées reçues concernant les dents
04/12/2024
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Sylvain
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Le meilleur collège de Cholet en 2024 est le Collège Jeanne D'Arc. Il a eu l'an dernier un taux de réussite de 99.25 % sur 133 candidats au Brevet des Collèges dont 93.18 % de réussite au Brevet avec Mention.
(image Freepik : https://fr.freepik.com/photos-gratuite/etudiants-escaliers-universite_1314182.htm#fromView=author&page=2&position=31&uuid=b5dbf2c2-7aba-433b-89e8-36239289cdeb)

Voir le classement des collèges de Cholet 👇
04/12/2024
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Sylvain
Sylvain
Dans un contexte où les fraudes et abus se multiplient, la ville de Cholet et ses alentours sont actuellement la cible de démarchages abusifs.

Que ce soit par des messages électroniques, des appels téléphoniques ou des visites à domicile, ces pratiques visent à tromper les habitants pour obtenir des informations personnelles ou vendre des produits frauduleux.

Voir le message de la ville de Cholet : https://www.facebook.com/share/p/1UacHczD79/?mibextid=WC7FNe

Des pratiques trompeuses et fréquentes

Plusieurs habitants de Cholet ont récemment signalé des démarchages suspects.

Parmi les cas rapportés :

1. Messages frauduleux sur les panneaux solaires : Des messages électroniques ou SMS prétendent que des aides gouvernementales sont disponibles pour l’installation de panneaux solaires. Ces communications incitent les destinataires à cliquer sur des liens douteux pour revendre un supposé surplus énergétique. La municipalité rappelle qu’aucune initiative officielle de ce type n’est en cours et appelle à la prudence.

2. Ventes frauduleuses à domicile : des individus se présentant comme agents de collecte de Cholet Agglomération tentent de vendre des calendriers, torchons ou autres articles. Ces démarcheurs, parfois agressifs, n’ont aucune légitimité. La collectivité précise que ses agents ne vendent aucun produit et sont toujours munis d’une carte professionnelle pour justifier leur intervention.

Les précautions à prendre

Pour se prémunir contre ces abus, il est essentiel de suivre quelques règles simples mais efficaces :

• Vérifiez toujours l’identité des démarcheurs : si une personne prétend représenter une institution, demandez une carte professionnelle ou un justificatif officiel. En cas de doute, contactez directement l’organisme concerné.

• Ne fournissez jamais d’informations personnelles ou bancaires : Les fraudeurs exploitent souvent ces données pour commettre d’autres actes malveillants.

• Évitez de cliquer sur des liens douteux : les messages électroniques ou SMS non sollicités doivent être ignorés, surtout s’ils proviennent d’expéditeurs inconnus.

• Inscrivez-vous sur Bloctel : cette liste d’opposition au démarchage téléphonique peut réduire le nombre d’appels indésirables.

Comment signaler un démarchage abusif ?

Si vous êtes victime ou témoin d’un démarchage suspect, vous pouvez le signaler aux autorités compétentes :

• Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) : cet organisme peut enquêter sur les pratiques abusives et prendre des mesures contre les fraudeurs.

• SignalConso : une plateforme officielle qui permet de signaler facilement les arnaques et démarchages abusifs (signal.conso.gouv.fr).

La vigilance, une protection essentielle

Face à l’ingéniosité des fraudeurs, la vigilance reste votre meilleure alliée.

Prenez le temps de vérifier chaque sollicitation et ne cédez pas à la pression des démarcheurs.

La ville de Cholet rappelle qu’en cas de doute ou d’insistance suspecte, il est préférable de ne pas répondre et de signaler l’incident.

En restant informés et prudents, les Choletais pourront mieux se protéger contre ces pratiques malhonnêtes qui ciblent les plus vulnérables.
01/12/2024
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Sylvain
Sylvain
En Australie, terre connue pour sa faune impressionnante et parfois redoutable, une scène effrayante a récemment été capturée en vidéo.

Une résidente du Queensland a eu une confrontation des plus inattendues avec un serpent imposant, qui a littéralement sauté à son visage alors qu’elle ouvrait la porte de son garage.

Un moment de panique
La vidéo, devenue virale sur les réseaux sociaux, montre le serpent bondissant vers la femme, provoquant une réaction instinctive de recul. Heureusement, l’animal n’était pas venimeux et l’incident s’est soldé sans blessure pour la résidente.

Néanmoins, la peur qu’elle a ressentie est bien compréhensible, dans un pays où les rencontres avec des reptiles impressionnants ne sont pas rares.

Une faune unique, mais intimidante
L’Australie abrite environ 140 espèces de serpents terrestres, dont certains sont parmi les plus venimeux au monde, comme le serpent brun de l’Est.

Cependant, le python en question, bien que spectaculaire par sa taille, est une espèce non venimeuse. Ces reptiles impressionnants peuvent atteindre jusqu’à 5 mètres de long et sont connus pour leur agilité.

Les pythons, en dépit de leur apparence effrayante, jouent un rôle crucial dans l’écosystème australien. Ils aident à réguler les populations de rongeurs et autres petits animaux. Ces interactions inattendues, bien qu’impressionnantes, rappellent que les humains partagent leur environnement avec une faune diverse et parfois imprévisible.

Comment réagir face à un serpent ?
Les experts recommandent de ne pas paniquer en cas de rencontre avec un serpent. Il est essentiel de rester immobile ou de s’éloigner lentement, sans faire de mouvements brusques. En Australie, des spécialistes en capture de serpents peuvent être appelés pour gérer ces situations en toute sécurité.

Un rappel des dangers et des merveilles de la nature australienne

Cette rencontre insolite met en lumière la cohabitation entre humains et animaux dans un pays où la nature règne en maître. Si l’incident s’est bien terminé pour la résidente, il rappelle la nécessité d’être vigilant, particulièrement dans les régions où les serpents sont courants.

Que ce soit pour ses plages idylliques ou sa faune extraordinaire, l’Australie continue de fasciner le monde entier, même à travers des histoires aussi effrayantes que captivantes.

Cet événement rappelle que vivre en Australie, c’est accepter une coexistence quotidienne avec une faune unique et souvent impressionnante. Si cette rencontre avec un python a pu provoquer une belle frayeur, elle illustre aussi la richesse de la biodiversité de ce continent fascinant.
30/11/2024
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Sylvain
Sylvain
Une décision en faveur d’une information responsable

Le quotidien régional Ouest-France, premier journal français par sa diffusion, a annoncé le 19 novembre 2024 la suspension de ses publications sur la plateforme X (anciennement Twitter).

Cette décision marque une prise de position forte face aux dérives observées sur le réseau social, notamment la désinformation, le harcèlement en ligne et la prolifération de contenus violents.

Une décision motivée par la responsabilité éditoriale

Dans son communiqué, Ouest-France a exprimé son inquiétude quant à l’absence de modération et au manque de régulation sur X. Le quotidien estime que, dans l’état actuel de la plateforme, il n’est ni opportun ni pertinent de continuer à y diffuser ses contenus.

La désinformation et les fausses informations qui circulent librement sur X compromettent, selon le journal, la qualité de l’information et le respect de l’éthique journalistique.

Une réduction progressive avant l’arrêt total.

Cette décision ne survient pas soudainement. Dès octobre 2023, Ouest-France avait réduit son activité sur X, passant de près de 200 tweets par jour à une vingtaine par semaine. Le journal s’était déjà interrogé sur la pertinence de sa présence sur une plateforme jugée de plus en plus hostile à une information de qualité.

Un mouvement plus large en Europe

Ouest-France n’est pas un cas isolé. Ces derniers mois, plusieurs médias européens, comme le quotidien britannique The Guardian, l’espagnol La Vanguardia ou encore le suédois Dagens Nyheter, ont pris des mesures similaires en se retirant de la plateforme X. Tous dénoncent un environnement qu’ils considèrent comme toxique, amplifié par un manque de régulation de la part de l’entreprise dirigée par Elon Musk.

Maintien des comptes ouverts pour éviter l’usurpation

Bien que le journal ait suspendu ses publications, il a indiqué qu’il garderait ses comptes ouverts pour prévenir toute tentative d’usurpation d’identité par de faux comptes. Une décision pragmatique dans un contexte où les médias sont souvent la cible de cyberattaques ou de manipulations en ligne.

Vers une réévaluation de la stratégie numérique

Cette suspension de publication ne signifie pas que Ouest-France abandonne les réseaux sociaux. Le quotidien a affirmé son engagement à trouver des canaux numériques qui garantissent la diffusion d’une information fiable et responsable, tout en évitant de contribuer à des environnements numériques jugés nuisibles.

Une réflexion sur l’avenir du journalisme en ligne

À travers cette décision, Ouest-France pose une question essentielle : comment les médias peuvent-ils préserver leur intégrité et leur crédibilité dans un écosystème numérique où les règles semblent de plus en plus floues ?

En suspendant ses activités sur X, le journal entend non seulement protéger ses lecteurs, mais également interpeller sur la nécessité d’un web plus régulé et respectueux des valeurs journalistiques.

Avec cette initiative, Ouest-France réaffirme son rôle de média engagé et responsable, privilégiant la qualité de l’information et le respect de son lectorat à une visibilité immédiate mais compromise.

Une démarche qui pourrait inspirer d’autres médias à suivre cette voie dans un contexte où la confiance des citoyens envers l’information est plus précieuse que jamais.
28/11/2024
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Sylvain
Sylvain
Son monopole absolu sur la recherche impose ses règles, souvent opaques et contradictoires, et pousse les créateurs de contenu à se plier à des pratiques parfois absurdes.

Comme toute entreprise, l'intérêt de Google, c'est Google. Sa priorité est de conserver sa domination, et tout le reste découle de cette logique et tout le monde l'accepte.

🟦 Pourquoi tout le monde est à la botte de Google ?

Un monopole incontesté et incontournable
En France, Google détient environ 91% des parts de marché dans la recherche en ligne.
Cela signifie que pour qu’un contenu soit visible, il doit passer par Google. Ignorer ses règles, c’est condamner son contenu à rester invisible. Et ce ne sont pas les réseaux sociaux qui combleraient ce manquement.

Google est l’une des rares plateformes où une stratégie bien exécutée peut générer un trafic organique massif.

Pour les entreprises, c’est un canal incontournable pour attirer des clients sans dépendre exclusivement des publicités payantes.

Elles ont beau afficher, sur leur propre site, que tout élément faisant partie de leur site relève du droit d'auteur et qu'à ce titre, qu'il est interdit d'en prélever un bout sous peine de poursuite, elles acceptent bien que des entreprises privées, via leurs outils (spiders, bots, site de recherches), prélèvent et copient l'entièreté de ces infos pour qu'elles (Google, Bing, Qwant and Co'...) les diffusent sur leur propre site respectif.

Autrement dit, si dans cet article, je reprenais ne serait-ce qu'une seule phrase ou qu'une seule photo d'un site web et qui relève du droit d'auteur, je m'exposerais à des problèmes.

Lorsqu'il s'agit d'une entreprise comme Google (Alphabet), ça ne dérange plus du tout les entreprises qui se sont fait chipées leurs données.

C'est dire si beaucoup de créateurs et d’entreprises dépendent directement de leur classement sur Google pour générer des revenus. Cela crée un cercle vicieux où tout le monde doit s’aligner sur ses exigences, même si elles changent constamment, même si les convictions légales des entreprises qu'elles affichent sur leur propre site n'ont plus aucune valeur.


🟦 L’absurdité des optimisations chronophages

Créer des titres en pensant au maillage interne, optimiser chaque mot-clé pour éviter la cannibalisation, faire des audits pour détecter des micro-erreurs techniques, suivre des statistiques plus qu'il ne faut, ne pas comprendre une décision sans explication de Google....sont devenues la norme.

Pourtant, elles ne servent souvent qu’à plaire à Google, pas nécessairement aux utilisateurs.
Voici une p'tite liste d'exemples absurdes

😟Le maillage interne : le fait de devoir relier chaque article à d’autres contenus de manière artificielle pour "optimiser le SEO" est une contrainte énorme. Cela demande une mémoire presque encyclopédique des contenus passés et une gestion permanente.

😟La longueur des articles : pourquoi écrire 1500 mots sur un sujet qui pourrait être traité en 300 ? Parce que Google préfère les contenus longs, même si l’utilisateur veut une réponse rapide.

😟Les mises à jour d’articles : google valorise les contenus "frais". Cela force les éditeurs à revenir régulièrement sur d’anciens articles pour les mettre à jour, même si le sujet est intemporel.

😟Les micro-optimisations : modifier des balises H1, ajuster la vitesse de chargement de quelques millisecondes, ou encore supprimer des liens cassés, juste pour grappiller quelques positions.

🟦 Pourquoi Google impose cette complexité ?

1️⃣ Renforcer sa domination : plus les règles sont complexes, plus les créateurs de contenu doivent passer par des experts ou des outils (souvent liés à Google comme Google Search Console ou Google Ads). Cela renforce leur dépendance.

2️⃣Limiter les abus : les algorithmes de Google tentent de pénaliser les contenus de faible qualité. Mais dans cette lutte, ils imposent des exigences parfois disproportionnées, punissant également les contenus sincères et authentiques qui ne respectent pas tous les codes techniques, tout en diffusant des annonces entreprises qui n'affichent aucun mentions légales sur leur site, voire qui n'existe même pas dans le registre du commerce.

3️⃣ Garder le contrôle : en imposant des critères flous ou contradictoires, Google maintient une certaine opacité qui lui permet d’évoluer sans que personne ne puisse vraiment "craquer" son système.

🟦 Un monopole anti-créativité

La course à l’optimisation pour Google crée souvent des contenus stéréotypés : articles longs, pleins de mots-clés secondaires, paragraphes et listes structurés pour le SEO, pas pour l’intérêt du lecteur, autant de facteurs qui mènent à la perte d’authenticité et de spontanéité dans l’écriture, dans l'expression.


🟦 Une fausse dévotion à l’utilisateur

En affirmant vouloir le meilleur pour les internautes, Google se positionne comme le gardien de la qualité des contenus sur Internet, un allié de l’utilisateur.

Mais en pratique, Google implique les éditeurs dans un jeu d’optimisation sans fin, où chaque mise à jour d’algorithme peut bouleverser des stratégies entières. Il réduit parfois les marges des éditeurs de contenu, en leur volant une partie de leur visibilité avec les rich snippets ou les résultats directs (météo, résultats sportifs, élections...)

🟦 Contradiction ultime : le business modèle de Google

L’élément clé qui rend ces contradictions si flagrantes est que Google est avant tout une entreprise commerciale, avec une part massive de ses revenus provenant de la publicité (Google Ads).

Cela crée une tension permanente : Google veut un web rapide et efficace pour ses utilisateurs mais Google a besoin que les utilisateurs restent engagés suffisamment longtemps pour générer des clics publicitaires.

Cette double exigence fait que Google impose des règles complexes, souvent absurdes, aux créateurs de contenu. Mais en réalité, ces règles ne servent pas à l’utilisateur final, elles servent à maximiser les revenus de Google.


🟦 Livrer les meilleurs résultats : le mensonge de Google

Les résultats proposés par Google sont influencés par une multitude de facteurs, parfois au détriment de l’expérience utilisateur.

Par exemple :

- Des sites très bien référencés (SEO) mais de qualité médiocre peuvent devancer des contenus plus utiles.

- Les annonces payantes (Ads) occupent de plus en plus d’espace, reléguant les résultats organiques en bas de page

- Le classement des sites pornos : les limites de l’algorithme de Google

➡️ Google ne peut pas évaluer subjectivement la "qualité" d’un site porno : comment juger qu’un site est "meilleur" qu’un autre ?
Par le contenu ?
Par l’expérience utilisateur ?
Par les critères techniques comme la vitesse de chargement ?

➡️ Ce jugement est purement algorithmique et basé sur des critères impersonnels.
Les critères techniques priment : les sites pornographiques bien classés, comme tous sites sont souvent ceux qui ont une structure SEO optimisée (titres, descriptions, mots-clés), qui se chargent rapidement (Google valorise la vitesse), qui ont un grand nombre de liens entrants (popularité).

En effet, l’expérience utilisateur est difficile à mesurer : contrairement à d’autres secteurs, il est difficile pour Google de mesurer la satisfaction d’un utilisateur après avoir visité un site porno, qui de doute évidence, en cas de satisfaction, n'utilisera plus son clavier pendant quelque temps.

➡️ Les sites pornos manipulent aussi l’algorithme : de nombreux sites pornographiques sont des experts en SEO et investissent massivement pour manipuler les algorithmes. Ils savent optimiser leurs contenus pour maximiser leur visibilité.

➡️ Ce que Google dirait pour justifier le classement des sites pornos :
Si on demandait à Google pourquoi un site porno est mieux classé qu’un autre, voici ce qu’il pourrait répondre :

- Critères objectifs : "Nos algorithmes évaluent des critères techniques et non le contenu en lui-même. Les sites mieux classés respectent ces critères (rapidité, liens entrants, structure)."

- Neutralité apparente : "Google ne juge pas la qualité morale ou subjective des sites, mais classe les résultats en fonction de leur pertinence perçue pour les utilisateurs."

- Responsabilité déléguée : "Nous laissons aux utilisateurs le soin de déterminer ce qui leur convient. Nos résultats reflètent les comportements et préférences des internautes."

En d’autres termes, Google mettrait en avant la neutralité technique de son algorithme tout en évitant de se prononcer sur la "qualité" des sites classés.


🟦 Pourquoi cette neutralité est problématique ?

1️⃣ La confiance dans l’algorithme est illusoire : beaucoup d’utilisateurs croient que Google propose les "meilleurs" résultats, alors qu’il s’agit simplement des résultats les mieux optimisés pour l’algorithme.

2️⃣ L’absence de jugement humain : Google s’appuie sur des critères automatisés, ce qui signifie qu’un site peut être techniquement parfait mais offrir une expérience utilisateur médiocre ou être éthiquement discutable.

3️⃣ Une domination qui se justifie par elle-même : en affichant des résultats basés sur sa propre logique algorithmique, Google renforce son image d’autorité, même si cette logique peut être biaisée ou incomplète.


🟦 Le mythe du "meilleur résultat"
Google a construit son empire sur l’idée qu’il fournit les meilleurs résultats possibles, mais cette promesse est de plus en plus discutable. Dans des domaines comme les sites pornos (ou d’autres secteurs sensibles), les classements révèlent les limites d’un algorithme aveugle, basé uniquement sur des critères techniques.

Le problème n’est pas que Google manipule les résultats : c’est que nous avons trop confiance en sa capacité à évaluer ce qui est réellement "meilleur". Ce mythe est entretenu par son image de neutralité et son monopole.


🟦 Une douce dictature numérique, commerciale et culturelle acceptée

Le mot "dictature" peut sembler fort, car Google ne contraint pas directement les individus ou les entreprises. Pourtant, certains aspects rappellent ce type de régime :

1️⃣ Une dépendance imposée sans violence : les entreprises et les particuliers n’ont pas de choix réel. Pour être visibles ou compétitifs, ils doivent jouer selon les règles de Google, même si elles sont souvent opaques et contradictoires.
➔ Pas d’obligation légale, mais une contrainte économique et culturelle.

2️⃣ Une absence de contestation efficace : les critiques de Google (politiques, médias, utilisateurs) n’ont aucun impact réel sur son fonctionnement. Les amendes ou régulations de l’UE n’ont pas remis en question son monopole, qui reste largement intact.

3️⃣ Une illusion de liberté : Google donne l’impression de choix : on peut utiliser d’autres moteurs ou stratégies. Mais ces alternatives sont souvent inefficaces ou marginales.
➔ C’est une forme de contrôle subtile, où la domination est acceptée parce qu’elle est perçue comme incontournable.


🟦 Google rend la vie plus facile
L’entreprise a conçu des services d’une efficacité redoutable : recherche, Gmail, Google Maps, YouTube, etc. On accepte sa domination parce qu’elle simplifie énormément nos vies.

Une domination invisible
Google ne se présente jamais comme une entité autoritaire. Il adopte au contraire un discours rassurant et éthique ("Don’t be evil"). Cela contraste avec les régimes autoritaires traditionnels, où le contrôle est visible et direct.

Une dépendance consentie
Les utilisateurs et les entreprises savent qu’ils sont dépendants, mais ils tirent aussi des bénéfices du système. C’est un compromis : "On joue le jeu de Google, car il nous offre des outils gratuits et une visibilité que nous ne pourrions obtenir seuls."

Quel vision aviez-vous de Google et pensez-vous qu'une alternative s'impose ?
24/11/2024
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Sylvain
Sylvain
La crise du pouvoir d’achat touche bien sûr tout le monde. Les jeunes très diplômés craquent à juste titre.

Discussion avec un jeune de 30 ans diplômé de l’Ecole des Mines:

« tous mes amis qui ont des parcours similaires de diplômés de grandes écoles d’ingénieurs craquent. On habite Paris, on gagne entre 70K Euros et 120K Euros par an, on arrive péniblement à s’acheter un 40 m2 à Paris en s’endettant sur 20 ans au moins, il est hors de question de s’acheter une voiture ou d’avoir un enfant, on en a pas les moyens.

Une amie sortie de l’X qui a mon âge est développeur chez Open AI en Californie et elle gagne 500.000 Dollars par an ».

Il veut monter une boîte et finit par me demander si je pense qu’il faut qu’il le fasse en France.

Et il ajoute: « et le plus navrant c’est que beaucoup de jeunes de ma génération pensent que notre problème c’est le capitalisme et pas l’étatisme/ néo collectivisme français ».

Il est temps que les jeunes Français se réveillent.
23/11/2024
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Sylvain
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Lorsque l’on parle de Google, on évoque souvent une entreprise incontournable, un géant du web qui nous facilite la vie au quotidien.

De Maps à Street View, en passant par Google Images, ses services se veulent utiles, pratiques, et omniprésents.

Mais derrière cette image bienveillante se cache une réalité moins reluisante : Google exploite des contenus qui, pour une entreprise classique, tomberaient immédiatement sous le coup de la loi.

Alors, pourquoi une telle exception pour Google ?

Photographier les rues : une pratique tolérée, mais discutable
Street View est un outil impressionnant. On peut explorer les rues du monde entier depuis son canapé, repérer un commerce, ou même revivre des souvenirs d’enfance en naviguant dans son quartier natal. Mais il y a une question que peu de gens se posent : à qui Google a-t-il demandé l’autorisation de photographier ces rues, ces commerces, ces maisons, et parfois même ces personnes ?

En France, toute entreprise qui s’amuserait à photographier les façades de maisons ou des individus dans l’espace public à des fins commerciales s’exposerait à des sanctions. En théorie, ce genre de pratiques nécessite des autorisations préalables, notamment lorsqu’il s’agit d’exploiter les images dans un cadre lucratif.

Google, quant à lui, s’en dispense allègrement, arguant qu’il capture ces images depuis l’espace public et qu’elles servent un intérêt général. Un argument qui, en y réfléchissant, pourrait être retourné contre lui. Si une entreprise décidait de copier et distribuer les clichés de Street View en prétendant qu’ils sont "utiles", cela passerait-il aussi bien ? Peu probable.

Les images du web : indexation ou appropriation ?
Street View n’est qu’une partie du problème. Google récupère également des images diffusées sur des sites web et les intègre dans ses services, notamment Google Images. Ces images, pourtant protégées par le droit d’auteur, sont référencées sans que les créateurs n’aient leur mot à dire.

Certes, Google offre des outils permettant aux sites web de limiter cette indexation (via le fichier robots.txt ou des balises spécifiques), mais cela revient à demander aux créateurs de se protéger eux-mêmes, plutôt qu’à l’entreprise de respecter les droits d’auteur dès le départ. Une inversion des responsabilités.

Et soyons clairs : Google ne se contente pas d’indexer des images. Il les exploite indirectement à des fins commerciales en attirant des utilisateurs sur ses services et en générant des revenus publicitaires. Pourtant, lorsqu’il s’agit de protéger ses propres contenus, Google est le premier à invoquer le droit d’auteur.

Un double standard qui dérange
Imaginez ceci : vous prenez une capture d’écran de Street View pour illustrer un article critique sur les pratiques de Google. L’entreprise pourrait arguer que cette capture est protégée par son propre droit d’auteur et exiger son retrait. Mais en réalité, cette capture d’écran n’est qu’un reflet des contenus qu’elle-même a collectés sans autorisation.

L’ironie est flagrante. Google utilise des contenus protégés pour enrichir ses services, mais impose aux autres de respecter strictement les règles du droit d’auteur. Cette incohérence soulève une question essentielle : pourquoi Google bénéficierait-il d’une exception, alors qu’il est soumis aux mêmes lois que n’importe quelle entreprise ?

Pourquoi il est important d’en parler
Google justifie ses pratiques par leur utilité. Oui, Street View est pratique. Oui, Google Images est utile pour trouver rapidement des contenus. Mais l’utilité ne peut pas servir de prétexte pour contourner les règles. D’autres entreprises pourraient-elles arguer de leur utilité pour exploiter librement des contenus ? Non. Alors pourquoi Google le peut-il ?

En tant qu’utilisateurs, nous devons nous poser la question : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que des géants du web s’approprient des contenus sans en payer le prix, sous prétexte qu’ils nous rendent service ?

Appel à la réflexion collective
Cet article n’a pas pour but de dénigrer l’utilité de Google, mais de pointer une hypocrisie dans ses pratiques. Si Google veut exiger des autres qu’ils respectent le droit d’auteur, il devrait commencer par s’appliquer cette règle à lui-même. En tant qu’utilisateurs, créateurs, ou simplement citoyens, il est essentiel de rester vigilants et de remettre en question ces pratiques.

Parce qu’à la fin, si on laisse ces exceptions devenir la norme, ce ne sont pas seulement les créateurs ou les petites entreprises qui en pâtiront, mais l’ensemble de l’écosystème numérique.
22/11/2024
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Sylvain
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Les sénateurs ont instauré dans le budget 2025 de la Sécurité sociale une « contribution de solidarité », destinée à financer les dépenses croissantes liées aux personnes âgées dépendantes. Celle-ci prendra la forme de 7 heures supplémentaires de travail dans l’année, non rémunérées. Les entreprises verseront à ce titre 2,5 milliards d’euros à la branche autonomie. Le gouvernement était défavorable à l’amendement, mais considère que « la question du temps de travail doit être posée ».
21/11/2024
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Organisé par l'association des commerçants et artisans de Segré-en-Anjou-bleu (AssAnBle), le marché de Noël se déroulera dimanche 24 novembre, de 10 h à 18 h.
21/11/2024
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Ce samedi 23 novembre, Segré-en-Anjou Bleu accueille le Cyber Fest' pour prévenir du numérique tout en étant ludique.
21/11/2024
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Sylvain
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Vigilance Jaune - Neige et vents pour la journée du jeudi 21/11, débutant cette nuit pour le Maine Et Loire

1 à 5 cm de neige prévues et rafales de vent à 80 à 90 km/h.
- Limitez vos déplacements
- Évitez les activités en extérieur
- Protégez vos biens sensibles
20/11/2024
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