Quand encourager son enfant devient une rébellion face à l’enseignement

Quand encourager son enfant devient une rébellion face à l’enseignement
Sylvain
Sylvain
publiée le 28/12/2024
L’éducation de nos enfants est un pilier fondamental de leur développement, mais que faire lorsque le système d’enseignement semble parfois rigide, sourd à leurs besoins spécifiques, et peu valorisant ?
Voici une expérience personnelle qui, au-delà de l’anecdote, pose des questions essentielles sur la collaboration entre parents et enseignants.

L'histoire : un cahier, deux lettres et une initiative parentale

Mon fils, élève en primaire et enfant précoce, avait un cahier scolaire révélateur. Ses efforts y étaient souvent réduits à une simple annotation : "TB" ou parfois rien du tout. Pas de commentaires pour souligner son travail, pas de mots pour nourrir sa fierté ou encourager son élan.

Un jour, pourtant, il avait pris le temps de soigner la présentation d’un exercice, soulignant même le titre de son propre chef. L’initiative, bien que non demandée par l’enseignante, aurait mérité un mot d’encouragement. Au lieu de cela, il reçut une remarque cinglante, rédigée en rouge, tellement appuyée qu’elle marquait les pages suivantes.

Face à cette injustice, j’ai décidé de réagir. Sur les pages suivantes du cahier, là où mon fils avait travaillé sans faute, j’ai pris soin d’écrire moi-même des remarques positives, soulignant ses réussites, ses efforts et sa créativité. Une simple action, motivée par l’envie de combler un vide dans l’enseignement.

La réponse institutionnelle : "on n’a jamais vu ça"

Ce geste n’a pas été sans conséquences. Quelques jours plus tard, je me suis retrouvé convoqué par le recteur de l’académie. Ce qui m’a interpelé, c’est que l’institutrice n’a jamais pris le temps de me contacter directement. Plutôt que de discuter de ma démarche ou d’exprimer ses réserves, elle en a référé immédiatement au recteur.

Pire encore, le recteur, au lieu de m’appeler pour échanger sereinement, m’a fait venir en personne, comme si mon geste relevait d’une faute grave. Sa première remarque, presque désapprobatrice, fut : "On n’a jamais vu cela."

Ma réponse fut spontanée : "On n’a jamais vu l’équipe de France de football gagner la Coupe du Monde avant 1998., comme quoi, tout arrive !"

Je poursuivis avec une question simple mais essentielle : "Encourager son fils n’est-il pas dans son intérêt ? Pourquoi l’institutrice aurait-elle l’exclusivité de la reconnaissance, surtout si elle la réduit à deux lettres ?"

Le recteur, visiblement décontenancé, m’a conseillé de "mettre de l’eau dans mon vin". Mais je lui ai répondu avec détermination : "J’aurai toujours des mots pour reconnaître ce que mon fils fait de bien."

Les mots : moteurs ou freins pour les enfants ?

Les mots, qu’ils soient écrits ou prononcés, jouent un rôle fondamental dans la construction de l’estime de soi des enfants. Un commentaire positif peut transformer un effort en victoire personnelle ; à l’inverse, une remarque sèche ou l’absence de retour peut inhiber leur motivation.

Pour un enfant précoce, souvent en quête de sens, le besoin de reconnaissance est encore plus grand. Un "TB" dépourvu de contexte ou de chaleur humaine ne suffit pas. Ils ont besoin de se sentir compris, valorisés dans leur singularité, pour continuer à s’investir pleinement.

Un système d’enseignement parfois rigide

Cette expérience révèle aussi les limites d’un système d’enseignement souvent figé dans ses habitudes. Certains enseignants, par manque de temps ou de formation, privilégient une approche minimaliste et standardisée, sans toujours considérer les besoins évidemment essentiels des élèves.

Mais ce qui est plus problématique encore, c’est l’idée que les parents n’auraient pas leur place dans l’enseignement scolaire. En écrivant dans le cahier de mon fils, je n’ai pas voulu remettre en cause l’autorité de l’enseignante. J’ai simplement complété ce qui manquait pour le bien-être de mon enfant.

Le rôle des parents : un complément indispensable

Être parent, c’est soutenir son enfant, l’encourager et l’accompagner dans ses réussites comme dans ses échecs. Ce rôle ne s’arrête pas à la porte de l’école. Les enseignants et les parents devraient collaborer, plutôt que de s’opposer, pour offrir un cadre complet et bienveillant aux enfants.

Une leçon à retenir
Aujourd’hui encore, cette expérience reste gravée dans ma mémoire. Elle m’a appris une chose essentielle : il ne faut jamais avoir peur de défendre son enfant, même face à un système qui semble inflexible.

Et si nous repensions l’enseignement comme un partenariat, où chaque acteur – enseignants, parents, et même enfants – aurait sa place pour construire ensemble des générations épanouies, confiantes et motivées ?

Il est temps de poser cette question et d’agir. Parce que valoriser nos enfants, c’est leur donner les moyens de grandir en confiance et d’oser rêver.

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Commentaires
28/12/2024 20:34
C’est complètement fou cette histoire … A quel moment, les parents ne pourraient pas intervenir sur le travail de leur enfant et d’autant plus si c’est pour les encourager ? Cela laisse interrogatif ?

Sylvain
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L’éducation de nos enfants est un pilier fondamental de leur développement, mais que faire lorsque le système d’enseignement semble parfois rigide, sourd à leurs besoins spécifiques, et peu valorisant ?
Voici une expérience personnelle qui, au-delà de l’anecdote, pose des questions essentielles sur la collaboration entre parents et enseignants.

L'histoire : un cahier, deux lettres et une initiative parentale

Mon fils, élève en primaire et enfant précoce, avait un cahier scolaire révélateur. Ses efforts y étaient souvent réduits à une simple annotation : "TB" ou parfois rien du tout. Pas de commentaires pour souligner son travail, pas de mots pour nourrir sa fierté ou encourager son élan.

Un jour, pourtant, il avait pris le temps de soigner la présentation d’un exercice, soulignant même le titre de son propre chef. L’initiative, bien que non demandée par l’enseignante, aurait mérité un mot d’encouragement. Au lieu de cela, il reçut une remarque cinglante, rédigée en rouge, tellement appuyée qu’elle marquait les pages suivantes.

Face à cette injustice, j’ai décidé de réagir. Sur les pages suivantes du cahier, là où mon fils avait travaillé sans faute, j’ai pris soin d’écrire moi-même des remarques positives, soulignant ses réussites, ses efforts et sa créativité. Une simple action, motivée par l’envie de combler un vide dans l’enseignement.

La réponse institutionnelle : "on n’a jamais vu ça"

Ce geste n’a pas été sans conséquences. Quelques jours plus tard, je me suis retrouvé convoqué par le recteur de l’académie. Ce qui m’a interpelé, c’est que l’institutrice n’a jamais pris le temps de me contacter directement. Plutôt que de discuter de ma démarche ou d’exprimer ses réserves, elle en a référé immédiatement au recteur.

Pire encore, le recteur, au lieu de m’appeler pour échanger sereinement, m’a fait venir en personne, comme si mon geste relevait d’une faute grave. Sa première remarque, presque désapprobatrice, fut : "On n’a jamais vu cela."

Ma réponse fut spontanée : "On n’a jamais vu l’équipe de France de football gagner la Coupe du Monde avant 1998., comme quoi, tout arrive !"

Je poursuivis avec une question simple mais essentielle : "Encourager son fils n’est-il pas dans son intérêt ? Pourquoi l’institutrice aurait-elle l’exclusivité de la reconnaissance, surtout si elle la réduit à deux lettres ?"

Le recteur, visiblement décontenancé, m’a conseillé de "mettre de l’eau dans mon vin". Mais je lui ai répondu avec détermination : "J’aurai toujours des mots pour reconnaître ce que mon fils fait de bien."

Les mots : moteurs ou freins pour les enfants ?

Les mots, qu’ils soient écrits ou prononcés, jouent un rôle fondamental dans la construction de l’estime de soi des enfants. Un commentaire positif peut transformer un effort en victoire personnelle ; à l’inverse, une remarque sèche ou l’absence de retour peut inhiber leur motivation.

Pour un enfant précoce, souvent en quête de sens, le besoin de reconnaissance est encore plus grand. Un "TB" dépourvu de contexte ou de chaleur humaine ne suffit pas. Ils ont besoin de se sentir compris, valorisés dans leur singularité, pour continuer à s’investir pleinement.

Un système d’enseignement parfois rigide

Cette expérience révèle aussi les limites d’un système d’enseignement souvent figé dans ses habitudes. Certains enseignants, par manque de temps ou de formation, privilégient une approche minimaliste et standardisée, sans toujours considérer les besoins évidemment essentiels des élèves.

Mais ce qui est plus problématique encore, c’est l’idée que les parents n’auraient pas leur place dans l’enseignement scolaire. En écrivant dans le cahier de mon fils, je n’ai pas voulu remettre en cause l’autorité de l’enseignante. J’ai simplement complété ce qui manquait pour le bien-être de mon enfant.

Le rôle des parents : un complément indispensable

Être parent, c’est soutenir son enfant, l’encourager et l’accompagner dans ses réussites comme dans ses échecs. Ce rôle ne s’arrête pas à la porte de l’école. Les enseignants et les parents devraient collaborer, plutôt que de s’opposer, pour offrir un cadre complet et bienveillant aux enfants.

Une leçon à retenir
Aujourd’hui encore, cette expérience reste gravée dans ma mémoire. Elle m’a appris une chose essentielle : il ne faut jamais avoir peur de défendre son enfant, même face à un système qui semble inflexible.

Et si nous repensions l’enseignement comme un partenariat, où chaque acteur – enseignants, parents, et même enfants – aurait sa place pour construire ensemble des générations épanouies, confiantes et motivées ?

Il est temps de poser cette question et d’agir. Parce que valoriser nos enfants, c’est leur donner les moyens de grandir en confiance et d’oser rêver.
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Sylvain
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En 2005, j’avais accepté, avec une naïveté confondante et une once d’espoir et de conviction, de participer à la messe de minuit de La Séguinière. Pas comme simple spectateur, non. J’étais le musicien, le technicien, et le créateur de l’ambiance visuelle et sonore. Une mission titanesque qui, rétrospectivement, aurait mérité un contrat en bonne et due forme ou au moins une prime de Noël. Spoiler : je n’avais eu ni l’un ni l’autre.

Le projet avait tout pour séduire au départ : une salle municipale vaste, un prêtre enthousiaste que je connaissais depuis mes années lycée (merci à l’aumônerie pour ses bons moments à gratter de la guitare), et un public d’environ 1 000 âmes. Équipé de mon arsenal — guitare, ordinateur, vidéo-projecteur, écran géant et câbles en tous genres —, j’avais mobilisé non seulement du matériel de qualité, mais aussi mes compétences multiples en musique, en informatique et en logistique événementielle. Le tout, bien sûr, bénévolement. Mon athéisme, qui aurait pu poser problème à certains, n’avait pas freiné mon engagement. Ironique, n’est-ce pas ?

Un diaporama divin, mais des partenaires pas très "catholiques"...

Pour l’occasion, j’avais minutieusement préparé un diaporama destiné à projeter textes et images fournis par l’Abbé Nédixion. Un travail méticuleux impliquant des heures de tri, de synchronisation et d’ajustements techniques pour que tout soit parfait.

Pourtant, dès la mise en place, des grains de sable avaient grippé la machine : la chorale avait décidé de chanter… dos au public. Il m'avait fallu des trésors de diplomatie pour leur expliquer que la voix, comme la foi, est destinée à s’élever vers les fidèles. Puis, cerise sur le gâteau sonore : le claviériste jouait sur un synthétiseur probablement désaccordé, à moins que son talent pour les fausses notes n’avait été volontaire.

Malgré tout, la soirée démarrait et, contre toute attente, le spectacle avait tenu la route. La guitare était juste, les chants presque harmonieux, la diffusion du diaporama impeccable. Les fidèles avaient marmonné les cantiques avec plus ou moins de conviction. Bref, la magie de Noël avait opéré… du moins jusqu’à la bénédiction finale.

Un miracle : l’exode instantanée des fidèles

Et là, patatras. Une fois le dernier « Amen » prononcé, les portes s’étaient ouvertes et un flot humain s’était échappé, aspiré par la nuit glaciale. En une minute à peine, la salle était vide. Mille fidèles s’étaient évaporés, sans un regard en arrière, prêts à se régaler de dinde et de bûche, à échanger des « Joyeux Noël ». Même l'Abbé Nédixion, maître de cérémonie, s’était éclipsé avec une vélocité digne d’un champion de sprint, à faire rougir Usain Bolt, non sans un rapide « Merci pour tout ! ».

Quant à moi ? Je m’étais retrouvé seul.
Abandonné dans cette immense salle froide à ranger, face à un chantier monumental : débrancher et enrouler des dizaines de câbles, débrancher la sono, ranger quelques chaises pour faciliter l’accessibilité au débranchement et à l’équipement, éteindre le vidéo-projecteur et démonter l’écran géant de 6 m2. Tout cela, avec pour seule compagnie un silence qui, à mesure que je travaillais, s’était transformé en reproche : mais pourquoi diable avais-tu accepté tout ça ?

La solidarité chrétienne ? Un mythe urbain

Deux heures plus tard, enfin de retour chez moi, je avais raté le dessert familial. L’esprit alourdi, je réfléchis. Que restait-il de la solidarité et du partage prônés pendant cette Messe ? Rien. Pas un fidèle pour m’aider, pas même un mot de soutien, une main tendue, un geste, un minimum d'empathie. Que dalle !
Tout cela avait conforté une conclusion personnelle déjà bien ancrée : l’athéisme me semble décidément plus honnête. Plutôt que de prôner des valeurs que l’on oublie dès la sortie de l’église, il convoque la responsabilité de nos actes et du monde qu’on laisse derrière nous.

Et la prochaine fois ?
Si je devais refaire une Messe de Minuit, je m’assurerais de prêcher une homélie percutante : « Celui qui range après la fête est plus proche du Royaume des Cieux. » Peut-être que là, on viendrait m’aider. Mais ne comptez plus sur moi pour revenir avec ma guitare, mon matériel ou ma foi en une solidarité illusoire.

Joyeux Noël, donc, à ceux qui savent que le véritable partage va au-delà des mots murmurés entre deux cantiques. Moi, je garde mon énergie pour des causes plus authentiques.
25/12/2024
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Sylvain
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Ralenti par un marché du bâtiment en difficulté, l’industriel choletais, vaisseau amiral du groupe Aliaxis en France (1 200 salariés), a un nouvel homme à sa tête, Stéphane Baudena. Parcours, perspective, investissements… Cinq mois après son arrivée, le directeur général du spécialiste de la gestion des fluides fait le tour des sujets pour la première fois, dans les colonnes du Courrier de l’Ouest.
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Sylvain
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Je vous invite à découvrir cette vidéo qui explique très clairement le dossier dit "des indemnités des élus" de la Ville de Cholet. Il est primordial de rétablir la vérité.

Source du post X : https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1870150453343727670
20/12/2024
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Sylvain
Sylvain
J’aime bien cette émission où l’on ne cherche pas à faire des participants des stars et où les membres du jury ont un jugement argumenté pour chacune des prestations, contrairement à une émission comme The Voice où, publiquement, la bienveillance frôle la dictature.

Comme si la bienveillance consistait à ne dire que du bien et à nier les défauts, les fautes, les erreurs, ce qui ne tire pas les participants vers le haut, bien au contraire.

Dans l’émission Prodiges, les participants apprécient de recevoir des remarques constructives de la part des membres du jury.

Là où Prodiges rejoint les autres concours télévisuels, c’est dans l’autre concours : celui des SMS.

Si un seul gagnant de Prodiges touchera une bourse de 10 000€ qui aura nécessité des heures hebdomadaires d’entraînement sur plusieurs années, plusieurs gagnants au jeu SMS toucheront 10 000€ et plus.

On leur pose une question et ils doivent faire un choix parmi 2 réponses et envoyer leur par sms. Cela leur prendra 20 secondes.

Ce montant est à empocher plusieurs fois dans la soirée, sur plusieurs émissions.

Dans ce type de jeu télévisuel, on nous montre ainsi que la chance vaut plus que le travail et que le mérite.

Ceci dit, ceux qui travaillent leur art ont un gain sur le long terme en compétence et en estime de soi.
20/12/2024
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Sylvain
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Sylvain
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Monsieur Le Maire de Cholet Gilles Bourdouleix avec Cholet Agglomération et plusieurs élus et employés municipaux nourrissent les plateformes américaines en y communiquant plusieurs fois par semaine pour y faire l'éloge d'acteurs locaux de Cholet et du choletais. C'est une très bonne chose.

"Belle visite d'un des fleurons de l'industrie française dont le siège est à Cholet ! "
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1868606631271113149

"Vendredi soir, nous avons honoré les sportifs Choletais qui ont brillé cette année et les bénévoles des associations qui œuvrent pour le sport à Cholet ! "
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1863542213617058078

"Ce fut un plaisir d'inaugurer la nouvelle usine choletaise de la Fondation_AMIPI. Un rayon de soleil dans l'économie locale."
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1859655803562754474

"Visite très intéressante avec mon collègue Fred Pavageau du site choletais de LeRoy Logistique"
https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1846237043900215526


Magistral AI (https://magistral.ai/fr/) et yaaKa (https://yaaka.fr/), bien qu'elles ne soient pas des fleurons industriels, sont deux plateformes numériques nées en plein centre-ville de Cholet et participent à l'écosystème numérique français.

Ne serait-il pas opportun de soutenir aussi ces projets qui incarnent l'esprit entrepreneurial et numérique local de Cholet ?

Consommons local !
18/12/2024
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