Sac de courses U Cholet qui fait cocorico, idĂ©al pour le shopping 😉

Sac de courses U Cholet qui fait cocorico, idĂ©al pour le shopping 😉
Sylvain
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publiée le 06/11/2024
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Sac de courses U, papier marron, idĂ©al pour faire vos courses chez U, Leclerc, Carrefour, Auchan, Lidl đŸ€ŁđŸ€ŁđŸ€Ł

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Sylvain
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La premiĂšre utilitĂ© d’un comptoir de bar est de servir de point d’interaction entre les clients et le barman, permettant la prĂ©paration, la commande et le service des boissons ou des plats.

Il crĂ©e une sĂ©paration fonctionnelle entre la zone de travail du barman (oĂč sont stockĂ©es et prĂ©parĂ©es les consommations) et l’espace des clients tout en offrant un espace oĂč ces derniers peuvent s’appuyer, s’asseoir ou poser leurs consommations.

Il incarne Ă©galement un espace convivial qui favorise les Ă©changes sociaux.
06/12/2024
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Sylvain
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Docteur Kevin répond aux grandes questions et aux idées reçues concernant les dents
04/12/2024
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Sylvain
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Dans un contexte oĂč les fraudes et abus se multiplient, la ville de Cholet et ses alentours sont actuellement la cible de dĂ©marchages abusifs.

Que ce soit par des messages électroniques, des appels téléphoniques ou des visites à domicile, ces pratiques visent à tromper les habitants pour obtenir des informations personnelles ou vendre des produits frauduleux.

Voir le message de la ville de Cholet : https://www.facebook.com/share/p/1UacHczD79/?mibextid=WC7FNe

Des pratiques trompeuses et fréquentes

Plusieurs habitants de Cholet ont récemment signalé des démarchages suspects.

Parmi les cas rapportés :

1. Messages frauduleux sur les panneaux solaires : Des messages Ă©lectroniques ou SMS prĂ©tendent que des aides gouvernementales sont disponibles pour l’installation de panneaux solaires. Ces communications incitent les destinataires Ă  cliquer sur des liens douteux pour revendre un supposĂ© surplus Ă©nergĂ©tique. La municipalitĂ© rappelle qu’aucune initiative officielle de ce type n’est en cours et appelle Ă  la prudence.

2. Ventes frauduleuses Ă  domicile : des individus se prĂ©sentant comme agents de collecte de Cholet AgglomĂ©ration tentent de vendre des calendriers, torchons ou autres articles. Ces dĂ©marcheurs, parfois agressifs, n’ont aucune lĂ©gitimitĂ©. La collectivitĂ© prĂ©cise que ses agents ne vendent aucun produit et sont toujours munis d’une carte professionnelle pour justifier leur intervention.

Les précautions à prendre

Pour se prémunir contre ces abus, il est essentiel de suivre quelques rÚgles simples mais efficaces :

‱ VĂ©rifiez toujours l’identitĂ© des dĂ©marcheurs : si une personne prĂ©tend reprĂ©senter une institution, demandez une carte professionnelle ou un justificatif officiel. En cas de doute, contactez directement l’organisme concernĂ©.

‱ Ne fournissez jamais d’informations personnelles ou bancaires : Les fraudeurs exploitent souvent ces donnĂ©es pour commettre d’autres actes malveillants.

‱ Évitez de cliquer sur des liens douteux : les messages Ă©lectroniques ou SMS non sollicitĂ©s doivent ĂȘtre ignorĂ©s, surtout s’ils proviennent d’expĂ©diteurs inconnus.

‱ Inscrivez-vous sur Bloctel : cette liste d’opposition au dĂ©marchage tĂ©lĂ©phonique peut rĂ©duire le nombre d’appels indĂ©sirables.

Comment signaler un démarchage abusif ?

Si vous ĂȘtes victime ou tĂ©moin d’un dĂ©marchage suspect, vous pouvez le signaler aux autoritĂ©s compĂ©tentes :

‱ Direction DĂ©partementale de la Protection des Populations (DDPP) : cet organisme peut enquĂȘter sur les pratiques abusives et prendre des mesures contre les fraudeurs.

‱ SignalConso : une plateforme officielle qui permet de signaler facilement les arnaques et dĂ©marchages abusifs (signal.conso.gouv.fr).

La vigilance, une protection essentielle

Face Ă  l’ingĂ©niositĂ© des fraudeurs, la vigilance reste votre meilleure alliĂ©e.

Prenez le temps de vérifier chaque sollicitation et ne cédez pas à la pression des démarcheurs.

La ville de Cholet rappelle qu’en cas de doute ou d’insistance suspecte, il est prĂ©fĂ©rable de ne pas rĂ©pondre et de signaler l’incident.

En restant informĂ©s et prudents, les Choletais pourront mieux se protĂ©ger contre ces pratiques malhonnĂȘtes qui ciblent les plus vulnĂ©rables.
01/12/2024
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En Australie, terre connue pour sa faune impressionnante et parfois redoutable, une scÚne effrayante a récemment été capturée en vidéo.

Une rĂ©sidente du Queensland a eu une confrontation des plus inattendues avec un serpent imposant, qui a littĂ©ralement sautĂ© Ă  son visage alors qu’elle ouvrait la porte de son garage.

Un moment de panique
La vidĂ©o, devenue virale sur les rĂ©seaux sociaux, montre le serpent bondissant vers la femme, provoquant une rĂ©action instinctive de recul. Heureusement, l’animal n’était pas venimeux et l’incident s’est soldĂ© sans blessure pour la rĂ©sidente.

NĂ©anmoins, la peur qu’elle a ressentie est bien comprĂ©hensible, dans un pays oĂč les rencontres avec des reptiles impressionnants ne sont pas rares.

Une faune unique, mais intimidante
L’Australie abrite environ 140 espùces de serpents terrestres, dont certains sont parmi les plus venimeux au monde, comme le serpent brun de l’Est.

Cependant, le python en question, bien que spectaculaire par sa taille, est une espĂšce non venimeuse. Ces reptiles impressionnants peuvent atteindre jusqu’à 5 mĂštres de long et sont connus pour leur agilitĂ©.

Les pythons, en dĂ©pit de leur apparence effrayante, jouent un rĂŽle crucial dans l’écosystĂšme australien. Ils aident Ă  rĂ©guler les populations de rongeurs et autres petits animaux. Ces interactions inattendues, bien qu’impressionnantes, rappellent que les humains partagent leur environnement avec une faune diverse et parfois imprĂ©visible.

Comment réagir face à un serpent ?
Les experts recommandent de ne pas paniquer en cas de rencontre avec un serpent. Il est essentiel de rester immobile ou de s’éloigner lentement, sans faire de mouvements brusques. En Australie, des spĂ©cialistes en capture de serpents peuvent ĂȘtre appelĂ©s pour gĂ©rer ces situations en toute sĂ©curitĂ©.

Un rappel des dangers et des merveilles de la nature australienne

Cette rencontre insolite met en lumiĂšre la cohabitation entre humains et animaux dans un pays oĂč la nature rĂšgne en maĂźtre. Si l’incident s’est bien terminĂ© pour la rĂ©sidente, il rappelle la nĂ©cessitĂ© d’ĂȘtre vigilant, particuliĂšrement dans les rĂ©gions oĂč les serpents sont courants.

Que ce soit pour ses plages idylliques ou sa faune extraordinaire, l’Australie continue de fasciner le monde entier, mĂȘme Ă  travers des histoires aussi effrayantes que captivantes.

Cet Ă©vĂ©nement rappelle que vivre en Australie, c’est accepter une coexistence quotidienne avec une faune unique et souvent impressionnante. Si cette rencontre avec un python a pu provoquer une belle frayeur, elle illustre aussi la richesse de la biodiversitĂ© de ce continent fascinant.
30/11/2024
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Une dĂ©cision en faveur d’une information responsable

Le quotidien régional Ouest-France, premier journal français par sa diffusion, a annoncé le 19 novembre 2024 la suspension de ses publications sur la plateforme X (anciennement Twitter).

Cette décision marque une prise de position forte face aux dérives observées sur le réseau social, notamment la désinformation, le harcÚlement en ligne et la prolifération de contenus violents.

Une décision motivée par la responsabilité éditoriale

Dans son communiquĂ©, Ouest-France a exprimĂ© son inquiĂ©tude quant Ă  l’absence de modĂ©ration et au manque de rĂ©gulation sur X. Le quotidien estime que, dans l’état actuel de la plateforme, il n’est ni opportun ni pertinent de continuer Ă  y diffuser ses contenus.

La dĂ©sinformation et les fausses informations qui circulent librement sur X compromettent, selon le journal, la qualitĂ© de l’information et le respect de l’éthique journalistique.

Une rĂ©duction progressive avant l’arrĂȘt total.

Cette dĂ©cision ne survient pas soudainement. DĂšs octobre 2023, Ouest-France avait rĂ©duit son activitĂ© sur X, passant de prĂšs de 200 tweets par jour Ă  une vingtaine par semaine. Le journal s’était dĂ©jĂ  interrogĂ© sur la pertinence de sa prĂ©sence sur une plateforme jugĂ©e de plus en plus hostile Ă  une information de qualitĂ©.

Un mouvement plus large en Europe

Ouest-France n’est pas un cas isolĂ©. Ces derniers mois, plusieurs mĂ©dias europĂ©ens, comme le quotidien britannique The Guardian, l’espagnol La Vanguardia ou encore le suĂ©dois Dagens Nyheter, ont pris des mesures similaires en se retirant de la plateforme X. Tous dĂ©noncent un environnement qu’ils considĂšrent comme toxique, amplifiĂ© par un manque de rĂ©gulation de la part de l’entreprise dirigĂ©e par Elon Musk.

Maintien des comptes ouverts pour Ă©viter l’usurpation

Bien que le journal ait suspendu ses publications, il a indiquĂ© qu’il garderait ses comptes ouverts pour prĂ©venir toute tentative d’usurpation d’identitĂ© par de faux comptes. Une dĂ©cision pragmatique dans un contexte oĂč les mĂ©dias sont souvent la cible de cyberattaques ou de manipulations en ligne.

Vers une réévaluation de la stratégie numérique

Cette suspension de publication ne signifie pas que Ouest-France abandonne les rĂ©seaux sociaux. Le quotidien a affirmĂ© son engagement Ă  trouver des canaux numĂ©riques qui garantissent la diffusion d’une information fiable et responsable, tout en Ă©vitant de contribuer Ă  des environnements numĂ©riques jugĂ©s nuisibles.

Une rĂ©flexion sur l’avenir du journalisme en ligne

À travers cette dĂ©cision, Ouest-France pose une question essentielle : comment les mĂ©dias peuvent-ils prĂ©server leur intĂ©gritĂ© et leur crĂ©dibilitĂ© dans un Ă©cosystĂšme numĂ©rique oĂč les rĂšgles semblent de plus en plus floues ?

En suspendant ses activitĂ©s sur X, le journal entend non seulement protĂ©ger ses lecteurs, mais Ă©galement interpeller sur la nĂ©cessitĂ© d’un web plus rĂ©gulĂ© et respectueux des valeurs journalistiques.

Avec cette initiative, Ouest-France rĂ©affirme son rĂŽle de mĂ©dia engagĂ© et responsable, privilĂ©giant la qualitĂ© de l’information et le respect de son lectorat Ă  une visibilitĂ© immĂ©diate mais compromise.

Une dĂ©marche qui pourrait inspirer d’autres mĂ©dias Ă  suivre cette voie dans un contexte oĂč la confiance des citoyens envers l’information est plus prĂ©cieuse que jamais.
28/11/2024
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Son monopole absolu sur la recherche impose ses rÚgles, souvent opaques et contradictoires, et pousse les créateurs de contenu à se plier à des pratiques parfois absurdes.

Comme toute entreprise, l'intĂ©rĂȘt de Google, c'est Google. Sa prioritĂ© est de conserver sa domination, et tout le reste dĂ©coule de cette logique et tout le monde l'accepte.

🟩 Pourquoi tout le monde est à la botte de Google ?

Un monopole incontesté et incontournable
En France, Google détient environ 91% des parts de marché dans la recherche en ligne.
Cela signifie que pour qu’un contenu soit visible, il doit passer par Google. Ignorer ses rĂšgles, c’est condamner son contenu Ă  rester invisible. Et ce ne sont pas les rĂ©seaux sociaux qui combleraient ce manquement.

Google est l’une des rares plateformes oĂč une stratĂ©gie bien exĂ©cutĂ©e peut gĂ©nĂ©rer un trafic organique massif.

Pour les entreprises, c’est un canal incontournable pour attirer des clients sans dĂ©pendre exclusivement des publicitĂ©s payantes.

Elles ont beau afficher, sur leur propre site, que tout élément faisant partie de leur site relÚve du droit d'auteur et qu'à ce titre, qu'il est interdit d'en prélever un bout sous peine de poursuite, elles acceptent bien que des entreprises privées, via leurs outils (spiders, bots, site de recherches), prélÚvent et copient l'entiÚreté de ces infos pour qu'elles (Google, Bing, Qwant and Co'...) les diffusent sur leur propre site respectif.

Autrement dit, si dans cet article, je reprenais ne serait-ce qu'une seule phrase ou qu'une seule photo d'un site web et qui relĂšve du droit d'auteur, je m'exposerais Ă  des problĂšmes.

Lorsqu'il s'agit d'une entreprise comme Google (Alphabet), ça ne dérange plus du tout les entreprises qui se sont fait chipées leurs données.

C'est dire si beaucoup de crĂ©ateurs et d’entreprises dĂ©pendent directement de leur classement sur Google pour gĂ©nĂ©rer des revenus. Cela crĂ©e un cercle vicieux oĂč tout le monde doit s’aligner sur ses exigences, mĂȘme si elles changent constamment, mĂȘme si les convictions lĂ©gales des entreprises qu'elles affichent sur leur propre site n'ont plus aucune valeur.


🟩 L’absurditĂ© des optimisations chronophages

Créer des titres en pensant au maillage interne, optimiser chaque mot-clé pour éviter la cannibalisation, faire des audits pour détecter des micro-erreurs techniques, suivre des statistiques plus qu'il ne faut, ne pas comprendre une décision sans explication de Google....sont devenues la norme.

Pourtant, elles ne servent souvent qu’à plaire Ă  Google, pas nĂ©cessairement aux utilisateurs.
Voici une p'tite liste d'exemples absurdes

😟Le maillage interne : le fait de devoir relier chaque article Ă  d’autres contenus de maniĂšre artificielle pour "optimiser le SEO" est une contrainte Ă©norme. Cela demande une mĂ©moire presque encyclopĂ©dique des contenus passĂ©s et une gestion permanente.

😟La longueur des articles : pourquoi Ă©crire 1500 mots sur un sujet qui pourrait ĂȘtre traitĂ© en 300 ? Parce que Google prĂ©fĂšre les contenus longs, mĂȘme si l’utilisateur veut une rĂ©ponse rapide.

😟Les mises Ă  jour d’articles : google valorise les contenus "frais". Cela force les Ă©diteurs Ă  revenir rĂ©guliĂšrement sur d’anciens articles pour les mettre Ă  jour, mĂȘme si le sujet est intemporel.

😟Les micro-optimisations : modifier des balises H1, ajuster la vitesse de chargement de quelques millisecondes, ou encore supprimer des liens cassĂ©s, juste pour grappiller quelques positions.

🟩 Pourquoi Google impose cette complexitĂ© ?

1ïžâƒŁ Renforcer sa domination : plus les rĂšgles sont complexes, plus les crĂ©ateurs de contenu doivent passer par des experts ou des outils (souvent liĂ©s Ă  Google comme Google Search Console ou Google Ads). Cela renforce leur dĂ©pendance.

2ïžâƒŁLimiter les abus : les algorithmes de Google tentent de pĂ©naliser les contenus de faible qualitĂ©. Mais dans cette lutte, ils imposent des exigences parfois disproportionnĂ©es, punissant Ă©galement les contenus sincĂšres et authentiques qui ne respectent pas tous les codes techniques, tout en diffusant des annonces entreprises qui n'affichent aucun mentions lĂ©gales sur leur site, voire qui n'existe mĂȘme pas dans le registre du commerce.

3ïžâƒŁ Garder le contrĂŽle : en imposant des critĂšres flous ou contradictoires, Google maintient une certaine opacitĂ© qui lui permet d’évoluer sans que personne ne puisse vraiment "craquer" son systĂšme.

🟩 Un monopole anti-crĂ©ativitĂ©

La course Ă  l’optimisation pour Google crĂ©e souvent des contenus stĂ©rĂ©otypĂ©s : articles longs, pleins de mots-clĂ©s secondaires, paragraphes et listes structurĂ©s pour le SEO, pas pour l’intĂ©rĂȘt du lecteur, autant de facteurs qui mĂšnent Ă  la perte d’authenticitĂ© et de spontanĂ©itĂ© dans l’écriture, dans l'expression.


🟩 Une fausse dĂ©votion Ă  l’utilisateur

En affirmant vouloir le meilleur pour les internautes, Google se positionne comme le gardien de la qualitĂ© des contenus sur Internet, un alliĂ© de l’utilisateur.

Mais en pratique, Google implique les Ă©diteurs dans un jeu d’optimisation sans fin, oĂč chaque mise Ă  jour d’algorithme peut bouleverser des stratĂ©gies entiĂšres. Il rĂ©duit parfois les marges des Ă©diteurs de contenu, en leur volant une partie de leur visibilitĂ© avec les rich snippets ou les rĂ©sultats directs (mĂ©tĂ©o, rĂ©sultats sportifs, Ă©lections...)

🟩 Contradiction ultime : le business modùle de Google

L’élĂ©ment clĂ© qui rend ces contradictions si flagrantes est que Google est avant tout une entreprise commerciale, avec une part massive de ses revenus provenant de la publicitĂ© (Google Ads).

Cela crée une tension permanente : Google veut un web rapide et efficace pour ses utilisateurs mais Google a besoin que les utilisateurs restent engagés suffisamment longtemps pour générer des clics publicitaires.

Cette double exigence fait que Google impose des rĂšgles complexes, souvent absurdes, aux crĂ©ateurs de contenu. Mais en rĂ©alitĂ©, ces rĂšgles ne servent pas Ă  l’utilisateur final, elles servent Ă  maximiser les revenus de Google.


🟩 Livrer les meilleurs rĂ©sultats : le mensonge de Google

Les rĂ©sultats proposĂ©s par Google sont influencĂ©s par une multitude de facteurs, parfois au dĂ©triment de l’expĂ©rience utilisateur.

Par exemple :

- Des sites trÚs bien référencés (SEO) mais de qualité médiocre peuvent devancer des contenus plus utiles.

- Les annonces payantes (Ads) occupent de plus en plus d’espace, relĂ©guant les rĂ©sultats organiques en bas de page

- Le classement des sites pornos : les limites de l’algorithme de Google

âžĄïž Google ne peut pas Ă©valuer subjectivement la "qualitĂ©" d’un site porno : comment juger qu’un site est "meilleur" qu’un autre ?
Par le contenu ?
Par l’expĂ©rience utilisateur ?
Par les critĂšres techniques comme la vitesse de chargement ?

âžĄïž Ce jugement est purement algorithmique et basĂ© sur des critĂšres impersonnels.
Les critÚres techniques priment : les sites pornographiques bien classés, comme tous sites sont souvent ceux qui ont une structure SEO optimisée (titres, descriptions, mots-clés), qui se chargent rapidement (Google valorise la vitesse), qui ont un grand nombre de liens entrants (popularité).

En effet, l’expĂ©rience utilisateur est difficile Ă  mesurer : contrairement Ă  d’autres secteurs, il est difficile pour Google de mesurer la satisfaction d’un utilisateur aprĂšs avoir visitĂ© un site porno, qui de doute Ă©vidence, en cas de satisfaction, n'utilisera plus son clavier pendant quelque temps.

âžĄïž Les sites pornos manipulent aussi l’algorithme : de nombreux sites pornographiques sont des experts en SEO et investissent massivement pour manipuler les algorithmes. Ils savent optimiser leurs contenus pour maximiser leur visibilitĂ©.

âžĄïž Ce que Google dirait pour justifier le classement des sites pornos :
Si on demandait Ă  Google pourquoi un site porno est mieux classĂ© qu’un autre, voici ce qu’il pourrait rĂ©pondre :

- CritĂšres objectifs : "Nos algorithmes Ă©valuent des critĂšres techniques et non le contenu en lui-mĂȘme. Les sites mieux classĂ©s respectent ces critĂšres (rapiditĂ©, liens entrants, structure)."

- Neutralité apparente : "Google ne juge pas la qualité morale ou subjective des sites, mais classe les résultats en fonction de leur pertinence perçue pour les utilisateurs."

- Responsabilité déléguée : "Nous laissons aux utilisateurs le soin de déterminer ce qui leur convient. Nos résultats reflÚtent les comportements et préférences des internautes."

En d’autres termes, Google mettrait en avant la neutralitĂ© technique de son algorithme tout en Ă©vitant de se prononcer sur la "qualitĂ©" des sites classĂ©s.


🟩 Pourquoi cette neutralitĂ© est problĂ©matique ?

1ïžâƒŁ La confiance dans l’algorithme est illusoire : beaucoup d’utilisateurs croient que Google propose les "meilleurs" rĂ©sultats, alors qu’il s’agit simplement des rĂ©sultats les mieux optimisĂ©s pour l’algorithme.

2ïžâƒŁ L’absence de jugement humain : Google s’appuie sur des critĂšres automatisĂ©s, ce qui signifie qu’un site peut ĂȘtre techniquement parfait mais offrir une expĂ©rience utilisateur mĂ©diocre ou ĂȘtre Ă©thiquement discutable.

3ïžâƒŁ Une domination qui se justifie par elle-mĂȘme : en affichant des rĂ©sultats basĂ©s sur sa propre logique algorithmique, Google renforce son image d’autoritĂ©, mĂȘme si cette logique peut ĂȘtre biaisĂ©e ou incomplĂšte.


🟩 Le mythe du "meilleur rĂ©sultat"
Google a construit son empire sur l’idĂ©e qu’il fournit les meilleurs rĂ©sultats possibles, mais cette promesse est de plus en plus discutable. Dans des domaines comme les sites pornos (ou d’autres secteurs sensibles), les classements rĂ©vĂšlent les limites d’un algorithme aveugle, basĂ© uniquement sur des critĂšres techniques.

Le problĂšme n’est pas que Google manipule les rĂ©sultats : c’est que nous avons trop confiance en sa capacitĂ© Ă  Ă©valuer ce qui est rĂ©ellement "meilleur". Ce mythe est entretenu par son image de neutralitĂ© et son monopole.


🟩 Une douce dictature numĂ©rique, commerciale et culturelle acceptĂ©e

Le mot "dictature" peut sembler fort, car Google ne contraint pas directement les individus ou les entreprises. Pourtant, certains aspects rappellent ce type de régime :

1ïžâƒŁ Une dĂ©pendance imposĂ©e sans violence : les entreprises et les particuliers n’ont pas de choix rĂ©el. Pour ĂȘtre visibles ou compĂ©titifs, ils doivent jouer selon les rĂšgles de Google, mĂȘme si elles sont souvent opaques et contradictoires.
➔ Pas d’obligation lĂ©gale, mais une contrainte Ă©conomique et culturelle.

2ïžâƒŁ Une absence de contestation efficace : les critiques de Google (politiques, mĂ©dias, utilisateurs) n’ont aucun impact rĂ©el sur son fonctionnement. Les amendes ou rĂ©gulations de l’UE n’ont pas remis en question son monopole, qui reste largement intact.

3ïžâƒŁ Une illusion de libertĂ© : Google donne l’impression de choix : on peut utiliser d’autres moteurs ou stratĂ©gies. Mais ces alternatives sont souvent inefficaces ou marginales.
➔ C’est une forme de contrĂŽle subtile, oĂč la domination est acceptĂ©e parce qu’elle est perçue comme incontournable.


🟩 Google rend la vie plus facile
L’entreprise a conçu des services d’une efficacitĂ© redoutable : recherche, Gmail, Google Maps, YouTube, etc. On accepte sa domination parce qu’elle simplifie Ă©normĂ©ment nos vies.

Une domination invisible
Google ne se prĂ©sente jamais comme une entitĂ© autoritaire. Il adopte au contraire un discours rassurant et Ă©thique ("Don’t be evil"). Cela contraste avec les rĂ©gimes autoritaires traditionnels, oĂč le contrĂŽle est visible et direct.

Une dépendance consentie
Les utilisateurs et les entreprises savent qu’ils sont dĂ©pendants, mais ils tirent aussi des bĂ©nĂ©fices du systĂšme. C’est un compromis : "On joue le jeu de Google, car il nous offre des outils gratuits et une visibilitĂ© que nous ne pourrions obtenir seuls."

Quel vision aviez-vous de Google et pensez-vous qu'une alternative s'impose ?
24/11/2024
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Sylvain
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La crise du pouvoir d’achat touche bien sĂ»r tout le monde. Les jeunes trĂšs diplĂŽmĂ©s craquent Ă  juste titre.

Discussion avec un jeune de 30 ans diplĂŽmĂ© de l’Ecole des Mines:

« tous mes amis qui ont des parcours similaires de diplĂŽmĂ©s de grandes Ă©coles d’ingĂ©nieurs craquent. On habite Paris, on gagne entre 70K Euros et 120K Euros par an, on arrive pĂ©niblement Ă  s’acheter un 40 m2 Ă  Paris en s’endettant sur 20 ans au moins, il est hors de question de s’acheter une voiture ou d’avoir un enfant, on en a pas les moyens.

Une amie sortie de l’X qui a mon Ăąge est dĂ©veloppeur chez Open AI en Californie et elle gagne 500.000 Dollars par an ».

Il veut monter une boüte et finit par me demander si je pense qu’il faut qu’il le fasse en France.

Et il ajoute: « et le plus navrant c’est que beaucoup de jeunes de ma gĂ©nĂ©ration pensent que notre problĂšme c’est le capitalisme et pas l’étatisme/ nĂ©o collectivisme français ».

Il est temps que les jeunes Français se réveillent.
23/11/2024
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Sylvain
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Lorsque l’on parle de Google, on Ă©voque souvent une entreprise incontournable, un gĂ©ant du web qui nous facilite la vie au quotidien.

De Maps à Street View, en passant par Google Images, ses services se veulent utiles, pratiques, et omniprésents.

Mais derriÚre cette image bienveillante se cache une réalité moins reluisante : Google exploite des contenus qui, pour une entreprise classique, tomberaient immédiatement sous le coup de la loi.

Alors, pourquoi une telle exception pour Google ?

Photographier les rues : une pratique tolérée, mais discutable
Street View est un outil impressionnant. On peut explorer les rues du monde entier depuis son canapĂ©, repĂ©rer un commerce, ou mĂȘme revivre des souvenirs d’enfance en naviguant dans son quartier natal. Mais il y a une question que peu de gens se posent : Ă  qui Google a-t-il demandĂ© l’autorisation de photographier ces rues, ces commerces, ces maisons, et parfois mĂȘme ces personnes ?

En France, toute entreprise qui s’amuserait Ă  photographier les façades de maisons ou des individus dans l’espace public Ă  des fins commerciales s’exposerait Ă  des sanctions. En thĂ©orie, ce genre de pratiques nĂ©cessite des autorisations prĂ©alables, notamment lorsqu’il s’agit d’exploiter les images dans un cadre lucratif.

Google, quant Ă  lui, s’en dispense allĂšgrement, arguant qu’il capture ces images depuis l’espace public et qu’elles servent un intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Un argument qui, en y rĂ©flĂ©chissant, pourrait ĂȘtre retournĂ© contre lui. Si une entreprise dĂ©cidait de copier et distribuer les clichĂ©s de Street View en prĂ©tendant qu’ils sont "utiles", cela passerait-il aussi bien ? Peu probable.

Les images du web : indexation ou appropriation ?
Street View n’est qu’une partie du problĂšme. Google rĂ©cupĂšre Ă©galement des images diffusĂ©es sur des sites web et les intĂšgre dans ses services, notamment Google Images. Ces images, pourtant protĂ©gĂ©es par le droit d’auteur, sont rĂ©fĂ©rencĂ©es sans que les crĂ©ateurs n’aient leur mot Ă  dire.

Certes, Google offre des outils permettant aux sites web de limiter cette indexation (via le fichier robots.txt ou des balises spĂ©cifiques), mais cela revient Ă  demander aux crĂ©ateurs de se protĂ©ger eux-mĂȘmes, plutĂŽt qu’à l’entreprise de respecter les droits d’auteur dĂšs le dĂ©part. Une inversion des responsabilitĂ©s.

Et soyons clairs : Google ne se contente pas d’indexer des images. Il les exploite indirectement Ă  des fins commerciales en attirant des utilisateurs sur ses services et en gĂ©nĂ©rant des revenus publicitaires. Pourtant, lorsqu’il s’agit de protĂ©ger ses propres contenus, Google est le premier Ă  invoquer le droit d’auteur.

Un double standard qui dérange
Imaginez ceci : vous prenez une capture d’écran de Street View pour illustrer un article critique sur les pratiques de Google. L’entreprise pourrait arguer que cette capture est protĂ©gĂ©e par son propre droit d’auteur et exiger son retrait. Mais en rĂ©alitĂ©, cette capture d’écran n’est qu’un reflet des contenus qu’elle-mĂȘme a collectĂ©s sans autorisation.

L’ironie est flagrante. Google utilise des contenus protĂ©gĂ©s pour enrichir ses services, mais impose aux autres de respecter strictement les rĂšgles du droit d’auteur. Cette incohĂ©rence soulĂšve une question essentielle : pourquoi Google bĂ©nĂ©ficierait-il d’une exception, alors qu’il est soumis aux mĂȘmes lois que n’importe quelle entreprise ?

Pourquoi il est important d’en parler
Google justifie ses pratiques par leur utilitĂ©. Oui, Street View est pratique. Oui, Google Images est utile pour trouver rapidement des contenus. Mais l’utilitĂ© ne peut pas servir de prĂ©texte pour contourner les rĂšgles. D’autres entreprises pourraient-elles arguer de leur utilitĂ© pour exploiter librement des contenus ? Non. Alors pourquoi Google le peut-il ?

En tant qu’utilisateurs, nous devons nous poser la question : jusqu’oĂč sommes-nous prĂȘts Ă  accepter que des gĂ©ants du web s’approprient des contenus sans en payer le prix, sous prĂ©texte qu’ils nous rendent service ?

Appel à la réflexion collective
Cet article n’a pas pour but de dĂ©nigrer l’utilitĂ© de Google, mais de pointer une hypocrisie dans ses pratiques. Si Google veut exiger des autres qu’ils respectent le droit d’auteur, il devrait commencer par s’appliquer cette rĂšgle Ă  lui-mĂȘme. En tant qu’utilisateurs, crĂ©ateurs, ou simplement citoyens, il est essentiel de rester vigilants et de remettre en question ces pratiques.

Parce qu’à la fin, si on laisse ces exceptions devenir la norme, ce ne sont pas seulement les crĂ©ateurs ou les petites entreprises qui en pĂątiront, mais l’ensemble de l’écosystĂšme numĂ©rique.
22/11/2024
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Sylvain
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Les sĂ©nateurs ont instaurĂ© dans le budget 2025 de la SĂ©curitĂ© sociale une « contribution de solidarité », destinĂ©e Ă  financer les dĂ©penses croissantes liĂ©es aux personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes. Celle-ci prendra la forme de 7 heures supplĂ©mentaires de travail dans l’annĂ©e, non rĂ©munĂ©rĂ©es. Les entreprises verseront Ă  ce titre 2,5 milliards d’euros Ă  la branche autonomie. Le gouvernement Ă©tait dĂ©favorable Ă  l’amendement, mais considĂšre que « la question du temps de travail doit ĂȘtre posĂ©e ».
21/11/2024
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Organisé par l'association des commerçants et artisans de Segré-en-Anjou-bleu (AssAnBle), le marché de Noël se déroulera dimanche 24 novembre, de 10 h à 18 h.
21/11/2024
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Ce samedi 23 novembre, Segré-en-Anjou Bleu accueille le Cyber Fest' pour prévenir du numérique tout en étant ludique.
21/11/2024
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Vigilance Jaune - Neige et vents pour la journée du jeudi 21/11, débutant cette nuit pour le Maine Et Loire

1 à 5 cm de neige prévues et rafales de vent à 80 à 90 km/h.
- Limitez vos déplacements
- Évitez les activitĂ©s en extĂ©rieur
- Protégez vos biens sensibles
20/11/2024
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