Bonne annĂ©e 2025 đŸ„‚ Soyez bien vu (e) dans chacune de vos relations sociales

Bonne annĂ©e 2025 đŸ„‚ Soyez bien vu (e) dans chacune de vos relations sociales
Sylvain
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publiée le 02/01/2025
Je vous souhaite une année 2025 remplie de moments de sens, de partage, d'empathie et de réussite dans vos relations sociales, qu'elles soient amicales, parentales, amoureuses ou professionnelles.

Ensemble, faisons de cette annĂ©e une pĂ©riode oĂč chacun trouve sa place, oĂč chacun est reconnu et considĂ©rĂ© pour qui et ce qui il est.

Que chacun soit bien vu 😉

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02/01/2025
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Sylvain
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L’éducation de nos enfants est un pilier fondamental de leur dĂ©veloppement, mais que faire lorsque le systĂšme d’enseignement semble parfois rigide, sourd Ă  leurs besoins spĂ©cifiques, et peu valorisant ?
Voici une expĂ©rience personnelle qui, au-delĂ  de l’anecdote, pose des questions essentielles sur la collaboration entre parents et enseignants.

L'histoire : un cahier, deux lettres et une initiative parentale

Mon fils, élÚve en primaire et enfant précoce, avait un cahier scolaire révélateur. Ses efforts y étaient souvent réduits à une simple annotation : "TB" ou parfois rien du tout. Pas de commentaires pour souligner son travail, pas de mots pour nourrir sa fierté ou encourager son élan.

Un jour, pourtant, il avait pris le temps de soigner la prĂ©sentation d’un exercice, soulignant mĂȘme le titre de son propre chef. L’initiative, bien que non demandĂ©e par l’enseignante, aurait mĂ©ritĂ© un mot d’encouragement. Au lieu de cela, il reçut une remarque cinglante, rĂ©digĂ©e en rouge, tellement appuyĂ©e qu’elle marquait les pages suivantes.

Face Ă  cette injustice, j’ai dĂ©cidĂ© de rĂ©agir. Sur les pages suivantes du cahier, lĂ  oĂč mon fils avait travaillĂ© sans faute, j’ai pris soin d’écrire moi-mĂȘme des remarques positives, soulignant ses rĂ©ussites, ses efforts et sa crĂ©ativitĂ©. Une simple action, motivĂ©e par l’envie de combler un vide dans l’enseignement.

La rĂ©ponse institutionnelle : "on n’a jamais vu ça"

Ce geste n’a pas Ă©tĂ© sans consĂ©quences. Quelques jours plus tard, je me suis retrouvĂ© convoquĂ© par le recteur de l’acadĂ©mie. Ce qui m’a interpelĂ©, c’est que l’institutrice n’a jamais pris le temps de me contacter directement. PlutĂŽt que de discuter de ma dĂ©marche ou d’exprimer ses rĂ©serves, elle en a rĂ©fĂ©rĂ© immĂ©diatement au recteur.

Pire encore, le recteur, au lieu de m’appeler pour Ă©changer sereinement, m’a fait venir en personne, comme si mon geste relevait d’une faute grave. Sa premiĂšre remarque, presque dĂ©sapprobatrice, fut : "On n’a jamais vu cela."

Ma rĂ©ponse fut spontanĂ©e : "On n’a jamais vu l’équipe de France de football gagner la Coupe du Monde avant 1998., comme quoi, tout arrive !"

Je poursuivis avec une question simple mais essentielle : "Encourager son fils n’est-il pas dans son intĂ©rĂȘt ? Pourquoi l’institutrice aurait-elle l’exclusivitĂ© de la reconnaissance, surtout si elle la rĂ©duit Ă  deux lettres ?"

Le recteur, visiblement dĂ©contenancĂ©, m’a conseillĂ© de "mettre de l’eau dans mon vin". Mais je lui ai rĂ©pondu avec dĂ©termination : "J’aurai toujours des mots pour reconnaĂźtre ce que mon fils fait de bien."

Les mots : moteurs ou freins pour les enfants ?

Les mots, qu’ils soient Ă©crits ou prononcĂ©s, jouent un rĂŽle fondamental dans la construction de l’estime de soi des enfants. Un commentaire positif peut transformer un effort en victoire personnelle ; Ă  l’inverse, une remarque sĂšche ou l’absence de retour peut inhiber leur motivation.

Pour un enfant prĂ©coce, souvent en quĂȘte de sens, le besoin de reconnaissance est encore plus grand. Un "TB" dĂ©pourvu de contexte ou de chaleur humaine ne suffit pas. Ils ont besoin de se sentir compris, valorisĂ©s dans leur singularitĂ©, pour continuer Ă  s’investir pleinement.

Un systùme d’enseignement parfois rigide

Cette expĂ©rience rĂ©vĂšle aussi les limites d’un systĂšme d’enseignement souvent figĂ© dans ses habitudes. Certains enseignants, par manque de temps ou de formation, privilĂ©gient une approche minimaliste et standardisĂ©e, sans toujours considĂ©rer les besoins Ă©videmment essentiels des Ă©lĂšves.

Mais ce qui est plus problĂ©matique encore, c’est l’idĂ©e que les parents n’auraient pas leur place dans l’enseignement scolaire. En Ă©crivant dans le cahier de mon fils, je n’ai pas voulu remettre en cause l’autoritĂ© de l’enseignante. J’ai simplement complĂ©tĂ© ce qui manquait pour le bien-ĂȘtre de mon enfant.

Le rÎle des parents : un complément indispensable

Être parent, c’est soutenir son enfant, l’encourager et l’accompagner dans ses rĂ©ussites comme dans ses Ă©checs. Ce rĂŽle ne s’arrĂȘte pas Ă  la porte de l’école. Les enseignants et les parents devraient collaborer, plutĂŽt que de s’opposer, pour offrir un cadre complet et bienveillant aux enfants.

Une leçon à retenir
Aujourd’hui encore, cette expĂ©rience reste gravĂ©e dans ma mĂ©moire. Elle m’a appris une chose essentielle : il ne faut jamais avoir peur de dĂ©fendre son enfant, mĂȘme face Ă  un systĂšme qui semble inflexible.

Et si nous repensions l’enseignement comme un partenariat, oĂč chaque acteur – enseignants, parents, et mĂȘme enfants – aurait sa place pour construire ensemble des gĂ©nĂ©rations Ă©panouies, confiantes et motivĂ©es ?

Il est temps de poser cette question et d’agir. Parce que valoriser nos enfants, c’est leur donner les moyens de grandir en confiance et d’oser rĂȘver.
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En 2005, j’avais acceptĂ©, avec une naĂŻvetĂ© confondante et une once d’espoir et de conviction, de participer Ă  la messe de minuit de La SĂ©guiniĂšre. Pas comme simple spectateur, non. J’étais le musicien, le technicien, et le crĂ©ateur de l’ambiance visuelle et sonore. Une mission titanesque qui, rĂ©trospectivement, aurait mĂ©ritĂ© un contrat en bonne et due forme ou au moins une prime de NoĂ«l. Spoiler : je n’avais eu ni l’un ni l’autre.

Le projet avait tout pour sĂ©duire au dĂ©part : une salle municipale vaste, un prĂȘtre enthousiaste que je connaissais depuis mes annĂ©es lycĂ©e (merci Ă  l’aumĂŽnerie pour ses bons moments Ă  gratter de la guitare), et un public d’environ 1 000 Ăąmes. ÉquipĂ© de mon arsenal — guitare, ordinateur, vidĂ©o-projecteur, Ă©cran gĂ©ant et cĂąbles en tous genres —, j’avais mobilisĂ© non seulement du matĂ©riel de qualitĂ©, mais aussi mes compĂ©tences multiples en musique, en informatique et en logistique Ă©vĂ©nementielle. Le tout, bien sĂ»r, bĂ©nĂ©volement. Mon athĂ©isme, qui aurait pu poser problĂšme Ă  certains, n’avait pas freinĂ© mon engagement. Ironique, n’est-ce pas ?

Un diaporama divin, mais des partenaires pas trĂšs "catholiques"...

Pour l’occasion, j’avais minutieusement prĂ©parĂ© un diaporama destinĂ© Ă  projeter textes et images fournis par l’AbbĂ© NĂ©dixion. Un travail mĂ©ticuleux impliquant des heures de tri, de synchronisation et d’ajustements techniques pour que tout soit parfait.

Pourtant, dĂšs la mise en place, des grains de sable avaient grippĂ© la machine : la chorale avait dĂ©cidĂ© de chanter
 dos au public. Il m'avait fallu des trĂ©sors de diplomatie pour leur expliquer que la voix, comme la foi, est destinĂ©e Ă  s’élever vers les fidĂšles. Puis, cerise sur le gĂąteau sonore : le claviĂ©riste jouait sur un synthĂ©tiseur probablement dĂ©saccordĂ©, Ă  moins que son talent pour les fausses notes n’avait Ă©tĂ© volontaire.

MalgrĂ© tout, la soirĂ©e dĂ©marrait et, contre toute attente, le spectacle avait tenu la route. La guitare Ă©tait juste, les chants presque harmonieux, la diffusion du diaporama impeccable. Les fidĂšles avaient marmonnĂ© les cantiques avec plus ou moins de conviction. Bref, la magie de NoĂ«l avait opĂ©ré  du moins jusqu’à la bĂ©nĂ©diction finale.

Un miracle : l’exode instantanĂ©e des fidĂšles

Et lĂ , patatras. Une fois le dernier « Amen » prononcĂ©, les portes s’étaient ouvertes et un flot humain s’était Ă©chappĂ©, aspirĂ© par la nuit glaciale. En une minute Ă  peine, la salle Ă©tait vide. Mille fidĂšles s’étaient Ă©vaporĂ©s, sans un regard en arriĂšre, prĂȘts Ă  se rĂ©galer de dinde et de bĂ»che, Ă  Ă©changer des « Joyeux NoĂ«l ». MĂȘme l'AbbĂ© NĂ©dixion, maĂźtre de cĂ©rĂ©monie, s’était Ă©clipsĂ© avec une vĂ©locitĂ© digne d’un champion de sprint, Ă  faire rougir Usain Bolt, non sans un rapide « Merci pour tout ! ».

Quant Ă  moi ? Je m’étais retrouvĂ© seul.
AbandonnĂ© dans cette immense salle froide Ă  ranger, face Ă  un chantier monumental : dĂ©brancher et enrouler des dizaines de cĂąbles, dĂ©brancher la sono, ranger quelques chaises pour faciliter l’accessibilitĂ© au dĂ©branchement et Ă  l’équipement, Ă©teindre le vidĂ©o-projecteur et dĂ©monter l’écran gĂ©ant de 6 m2. Tout cela, avec pour seule compagnie un silence qui, Ă  mesure que je travaillais, s’était transformĂ© en reproche : mais pourquoi diable avais-tu acceptĂ© tout ça ?

La solidarité chrétienne ? Un mythe urbain

Deux heures plus tard, enfin de retour chez moi, je avais ratĂ© le dessert familial. L’esprit alourdi, je rĂ©flĂ©chis. Que restait-il de la solidaritĂ© et du partage prĂŽnĂ©s pendant cette Messe ? Rien. Pas un fidĂšle pour m’aider, pas mĂȘme un mot de soutien, une main tendue, un geste, un minimum d'empathie. Que dalle !
Tout cela avait confortĂ© une conclusion personnelle dĂ©jĂ  bien ancrĂ©e : l’athĂ©isme me semble dĂ©cidĂ©ment plus honnĂȘte. PlutĂŽt que de prĂŽner des valeurs que l’on oublie dĂšs la sortie de l’église, il convoque la responsabilitĂ© de nos actes et du monde qu’on laisse derriĂšre nous.

Et la prochaine fois ?
Si je devais refaire une Messe de Minuit, je m’assurerais de prĂȘcher une homĂ©lie percutante : « Celui qui range aprĂšs la fĂȘte est plus proche du Royaume des Cieux. » Peut-ĂȘtre que lĂ , on viendrait m’aider. Mais ne comptez plus sur moi pour revenir avec ma guitare, mon matĂ©riel ou ma foi en une solidaritĂ© illusoire.

Joyeux Noël, donc, à ceux qui savent que le véritable partage va au-delà des mots murmurés entre deux cantiques. Moi, je garde mon énergie pour des causes plus authentiques.
25/12/2024
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Je vous invite à découvrir cette vidéo qui explique trÚs clairement le dossier dit "des indemnités des élus" de la Ville de Cholet. Il est primordial de rétablir la vérité.

Source du post X : https://x.com/GBOURDOULEIX/status/1870150453343727670
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