Tendances des réseaux sociaux en 2024

L’omniprésence des réseaux dans le quotidien des utilisateurs contribue à
transformer leurs habitudes et leur comportement en ligne, conjuguée à
une quantité massive de contenu publié chaque jour, les marques doivent
repenser leur approche marketing pour tirer leur épingle du jeu.

Alors, face à ces évolutions, quelles sont les stratégies employées par les
marques pour assurer leur visibilité sur les réseaux sociaux ?

Pour répondre à cette question, HubSpot et Meltwater se sont associés pour
vous proposer un rapport complet et approfondi qui décrypte les tendances
dominantes des réseaux sociaux à travers le monde, vous offrant ainsi
des données clés pour optimiser et adapter votre stratégie et vos objectifs
marketing en 2024

https://www.hubspot.com/hubfs/%5BFRENCH%5D%20Social%20Media%20Trends%20Report%202024/Les%20Tendances%20des%20R%C3%A9seaux%20Sociaux%202024.pdf

Le Premier ministre François Bayrou se retrouve au cœur d’une polémique après avoir admis qu’il « n’avait pas vu » une mesure incluse dans le budget 2025, qui prévoyait une modification du régime de TVA des autoentrepreneurs. Cette annonce a suscité une vive réaction parmi les travailleurs indépendants et les organisations professionnelles, conduisant le gouvernement à suspendre temporairement la mesure.

Une mesure discrète mais lourde de conséquences

Dans le projet de loi de finances 2025, une disposition prévoyait une baisse du seuil d’exonération de TVA pour les autoentrepreneurs, initialement fixé à 85 000 euros de chiffre d’affaires annuel. Cette modification, passée relativement inaperçue lors des débats, aurait obligé de nombreux indépendants à facturer la TVA à leurs clients, entraînant une hausse des prix de leurs prestations et une perte de compétitivité.

Face à la colère des autoentrepreneurs, qui dénonçaient un « coup de massue » mettant en péril leur modèle économique, le gouvernement a rapidement fait marche arrière. Il a annoncé la suspension de la mesure, le temps de mener des consultations supplémentaires avec les représentants du secteur.

Bayrou reconnaît une erreur et tente de désamorcer la crise

Interrogé sur cette disposition controversée, François Bayrou a reconnu qu’il ne l’avait pas identifiée lors de l’examen du budget. « Je n’avais pas vu cette mesure », a-t-il admis publiquement, ajoutant que « lorsqu’une erreur est commise, il faut savoir la reconnaître et la corriger ».

Cette déclaration, bien que perçue comme une marque de transparence, n’a pas suffi à apaiser toutes les critiques. Certains observateurs s’étonnent qu’une mesure d’une telle ampleur ait pu être intégrée sans que le Premier ministre en soit conscient. D’autres pointent du doigt un manque de vigilance dans la gestion du budget, alors que des milliers d’autoentrepreneurs dépendent de ce régime fiscal spécifique pour maintenir leur activité.

Un recul stratégique pour éviter une fronde sociale ?

Le tollé provoqué par cette annonce intervient dans un contexte économique déjà tendu, marqué par des contestations récurrentes contre les réformes gouvernementales. Face à la montée des mécontentements, le gouvernement cherche à éviter une fronde des indépendants, un électorat souvent influent et dispersé sur l’ensemble du territoire.

Selon les dernières déclarations officielles, la mesure ne sera pas appliquée en l’état, et des discussions seront menées avec les représentants des autoentrepreneurs pour envisager des alternatives. Reste à savoir si cette suspension est un simple ajournement ou si la mesure sera définitivement abandonnée.

Conclusion : une vigilance accrue nécessaire

L’épisode de la TVA des autoentrepreneurs illustre une fois de plus la difficulté pour un gouvernement d’adopter des réformes fiscales sans susciter de vives réactions. La reconnaissance d’erreur de François Bayrou lui permet de désamorcer partiellement la crise, mais elle pose aussi la question de la rigueur et de la transparence dans le processus d’élaboration du budget.

Alors que la suspension de la mesure ne constitue pas une annulation définitive, les autoentrepreneurs restent mobilisés et attendent avec attention les prochaines décisions du gouvernement.

Retour sur l’une des affaires les plus marquantes de l’année dans le paysage du numérique.

Selon le règlement de Facebook, un profil doit être strictement associé à une personne physique, sinon vous risquez des sanctions sévères en cas de détection : blocage de votre compte, conversion forcée en page professionnelle avec perte de vos publications), ou fermeture pure et simple. Dans ce dernier cas, vous perdriez toutes les données personnelles et professionnelles liées à ce compte.

Voici les principales raisons d’éviter d'utiliser un compte personnel Facebook en une page professionnelle.

✅ Non-conformité avec les politiques de Facebook

- Violation des règles de Facebook : les conditions d'utilisation de Facebook stipulent qu'un compte personnel doit être utilisé uniquement pour des interactions privées. Utiliser un compte personnel à des fins commerciales peut entraîner la suspension ou la suppression du compte.

- Manque de fonctionnalités professionnelles : les pages professionnelles offrent des outils dédiés, comme les statistiques, les publicités ciblées, et des options de gestion de contenu adaptées à une entreprise, ce qui n’est pas possible avec un compte personnel.

✅ Manque de crédibilité et d’image professionnelle

- Apparence amateur : les clients et partenaires peuvent percevoir une entreprise utilisant un compte personnel comme moins professionnelle.

- Confusion pour les utilisateurs : les clients peuvent être désorientés en voyant un compte personnel au lieu d'une page dédiée à l'entreprise.

- Manipulation : les utilisateurs, potentiellement clients, peuvent croire que vous souhaitez avoir accès à leur compte personnel puisqu'il faut devenir "Amis".

- Devenir "Amis" entre particuliers et entreprises fausse le sens de la relation.

✅ Gestion inefficace de la visibilité et des interactions

- Limites sur les abonnés : un compte personnel est limité à 5 000 amis, alors qu'une page professionnelle peut avoir un nombre illimité de "j'aime" ou d'abonnés.

- Pas de différenciation entre vie privée et professionnelle : un compte personnel mélangera les informations personnelles avec les communications professionnelles, ce qui peut poser problème pour la confidentialité ou les limites entre la vie privée et professionnelle.

✅ Fonctionnalités manquantes pour le marketing

- Absence de statistiques avancées : les pages professionnelles offrent des outils d’analyse pour comprendre l’audience, mesurer l’engagement et améliorer les campagnes.

- Publicité et promotions limitées : les comptes personnels ne permettent pas de faire de la publicité payante ou des promotions ciblées.

- Gestion collaborative : avec une page professionnelle, plusieurs administrateurs peuvent être ajoutés, ce qui n'est pas possible avec un compte personnel.

✅ Risques légaux et professionnels
- Problèmes de responsabilité : mélanger vie privée et vie professionnelle peut être risqué en cas de litige ou de conflit avec un client.

- Perte de contrôle : si un compte personnel est suspendu, toutes les interactions professionnelles sont également perdues. En revanche, une page est plus sécurisée et peut être gérée par plusieurs administrateurs.

➡️ Conclusion

Pour représenter une entreprise de manière professionnelle et efficace sur Facebook, il est fortement recommandé de créer une page professionnelle Facebook dédiée. Cela permet de :

- maintenir le sens de la relation entreprise/client

- profiter des outils et fonctionnalités spécialement conçus pour développer et gérer une présence en ligne

- respecter les règles de la plateforme

- préserver votre crédibilité d'entrepreneur et d'image de marque

Deux organisations de grands éditeurs de presse ont adressé un courrier de mise en demeure aux fabricants de modèles d’intelligence artificielle pour faire rémunérer l’utilisation de leurs contenus.

L’utilisation de mots de passe est aujourd’hui un enjeu crucial en matière de protection de ses données et de ses échanges. Selon les résultats de l’étude d’Hive Systems 2024, entreprise spécialisée dans les systèmes de sécurité informatique, il est de plus en plus facile pour les hackers de pirater des mots de passe mal sécurisés.

L’infographie produite par Hive Systems (à retrouver au bas de cet article) révèle ainsi le temps nécessaire pour trouver un mot de passe en fonction de sa complexité et de sa longueur dans le cadre d'une attaque par force brute. Ce type d'attaque, qui consiste à tester, une à une, toutes les combinaisons possibles, peut être neutralisé en mettant en place outils, tels que l'authentification multi-facteurs (MFA) ou en surveillant et en restreignant les tentatives de connexion à vos outils numériques. Mais dans tous les cas, il est impératif de privilégier un mot de passe robuste.

Il est difficile de calculer exactement combien un utilisateur fait gagner à Facebook, car cela dépend de plusieurs facteurs, notamment :

- le temps passé sur la plateforme : plus un utilisateur passe de temps sur Facebook, plus il est exposé aux publicités, ce qui augmente les revenus publicitaires pour Facebook.

- le nombre d’interactions : les clics, les likes, les partages, et les commentaires contribuent à enrichir les données utilisateur, ce qui permet à Facebook de mieux cibler les publicités.

- la valeur publicitaire du marché : les revenus générés par utilisateur varient selon les régions. Par exemple, un utilisateur aux États-Unis génère plus de revenus qu’un utilisateur dans des pays où le coût par clic (CPC) est plus bas.

Estimation
Selon les rapports financiers récents de Meta (la société mère de Facebook), voici quelques chiffres indicatifs :

Revenu moyen par utilisateur (ARPU) : de $10 à $15 par trimestre en 2023 dans le monde et jusqu'à $50 ou plus dans des régions comme l’Amérique du Nord.

Annuellement : cela représente un revenu moyen d’environ $40 à $60 par utilisateur mondialement, et jusqu’à $200 ou plus pour un utilisateur nord-américain.

Calcul basé sur le temps passé
Temps moyen par utilisateur : environ 33 minutes par jour en moyenne.
Exposition publicitaire : si un utilisateur voit environ 10 à 20 publicités par session et qu’un annonceur paye entre $0,10 et $1 par impression ou clic, Facebook peut générer quelques centimes à plusieurs dollars par session.

En résumé, un utilisateur régulier qui passe du temps sur Facebook peut indirectement contribuer à quelques dizaines à centaines de dollars par an, selon son activité et sa localisation.

En janvier 2024, Facebook comptait environ 3,06 milliards d'utilisateurs actifs mensuels dans le monde, soit environ 37,7 % de la population mondiale.

En France, le réseau social enregistrait 35 millions d'utilisateurs actifs mensuels, représentant 73,3 % des internautes français. https://www.blogdumoderateur.com/chiffres-facebook/

Ces chiffres témoignent de la position dominante de Facebook parmi les réseaux sociaux, malgré une croissance plus lente ces dernières années.

Le pourcentage de visites web provenant de robots varie selon les études et les types de sites web analysés, mais il est généralement très élevé. Voici les principales estimations récentes :

Environ 42 à 50 % du trafic web mondial proviendrait de robots, selon des études menées ces dernières années par des entreprises comme Imperva ou Statista.

- 42,3 % en 2021 selon Imperva, dont : 28,9 % de bots "bons" (robots légitimes comme les moteurs de recherche, les services d’analyse, etc.).
- 13,4 % de bots "mauvais" (spammeurs, scrapers, hackers, etc.).

Ce pourcentage peut fluctuer selon le secteur et les mesures prises pour bloquer les robots.

Les bots légitimes : ces robots ont un rôle utile et sont souvent nécessaires :
- Les crawlers de moteurs de recherche (Googlebot, Bingbot, etc.).
- Les outils d'analyse de performances (PageSpeed Insights, Ahrefs, SEMrush, etc.).
- Les services de surveillance (UptimeRobot, Pingdom, etc.).

- Les bots malveillants : ces robots génèrent du trafic nuisible :
- Les spams (bots envoyant des messages ou remplissant des formulaires).
- Les scrapers (vol de contenu ou collecte de données).
- Les bots d'attaques (tentatives de piratage, DDoS, etc.).

Variations selon les types de sites

- Sites e-commerce : souvent ciblés par des bots malveillants (scrapers pour surveiller les prix, concurrents, etc.). Trafic bot : jusqu'à 60 % ou plus dans certains cas.

- Sites institutionnels : le trafic bot peut représenter environ 20 à 40 %, avec une majorité de bots légitimes.

- Sites très populaires (actualités, réseaux sociaux) : fortement visés par des bots, leur trafic automatisé peut dépasser 60 %.

Impact des robots sur les sites web
Positifs
- Indexation dans les moteurs de recherche (SEO).
- Surveillance de la disponibilité et des performances.

- Négatifs
- surcharge des serveurs (augmentation des coûts).
- Risques de sécurité (piratage, exploitation de failles).
- Distorsion des statistiques (trafic faussé dans Google Analytics, etc.).

Le trafic généré par les robots concerne également les réseaux sociaux et les applications, bien que les proportions et les types de bots diffèrent de ceux des sites web classiques.

Sur les réseaux sociaux : les plateformes comme Facebook, Twitter, Instagram ou LinkedIn sont des cibles privilégiées pour les bots, avec des objectifs variés.

Types de bots sur les réseaux sociaux

Bots positifs (légitimes)
- Automatisation des tâches : outils de planification (Buffer, Hootsuite).
- Analyse et monitoring : outils de suivi d’audience et de performances (Sprout Social, Social Blade).
- Veille concurrentielle et de tendances.

Bots nuisibles ou malveillants
- Faux comptes : générer de faux likes, partages ou commentaires pour manipuler les statistiques ou promouvoir des contenus.
- Spam : propagation de liens frauduleux ou publicitaires.
- Bots de désinformation : influence des discussions publiques (élections, débats, etc.).
- Scrapers : extraction illégale de données (profils, commentaires, etc.).

Impact sur les réseaux sociaux

Les plateformes rapportent qu'une partie significative des comptes actifs sont des bots :
- Twitter (désormais X) a admis en 2022 qu'environ 5 % de ses utilisateurs actifs quotidiens pourraient être des bots malveillants.

- Instagram et Facebook sont également affectés par des bots, notamment dans les campagnes de spam et d'escroquerie.

Sur les applications mobiles :
Les bots peuvent aussi générer du trafic sur les applications mobiles, bien que cela soit moins visible pour les utilisateurs.

Exemples de bots dans les application
- Automatisation : utilisation d'outils automatisés pour exécuter des tâches répétitives (achats automatisés, réservations, etc.).
- Analyse et tests des applications (bots de test automatisés).

Bots malveillants
- Fraude publicitaire : bots simulant des clics ou des vues pour augmenter artificiellement les revenus publicitaires (fraude au CPM ou CPC).
- Exploitation de failles : bots ciblant les vulnérabilités pour accéder aux données des utilisateurs.
- Bots de scalping : achat massif de produits sur des applications e-commerce (billets, éditions limitées).
- Bots concurrents : scraping de données sensibles ou de prix dans les applications concurrentes.

Impact sur les applications :
- Augmentation des coûts : bots consomment des ressources serveur, entraînant des frais supplémentaires.
- Distorsion des statistiques : faux clics, inscriptions ou interactions qui faussent les KPI.
- Risque de sécurité : bots exploitant des API non sécurisées pour voler des données ou surcharger les systèmes.

En résumé : les bots sont omniprésents, y compris sur les réseaux sociaux et les applications.
Ils peuvent être utiles (automatisation, veille) ou nuisibles (spam, fraude).

Leur impact est significatif : manipulation des statistiques, surcharge des systèmes, et parfois atteinte à la sécurité ou à la vie privée des utilisateurs.

Les plateformes investissent massivement dans des solutions pour limiter ces abus, mais une part non négligeable de leur trafic reste toujours attribuée aux bots.

Vous êtes amateur de sucreries originales ? Découvrez le mariage parfait entre la douceur du nougat et le croquant chocolaté des célèbres M&M's. Une innovation gourmande qui séduit petits et grands ! Dans cet article, plongez dans l’univers savoureux du Nougat M&M’s et apprenez tout sur cette délicieuse combinaison.

✅ Qu'est-ce que le Nougat M&M's ?

Le Nougat M&M's est une fusion unique entre deux textures et saveurs bien distinctes. D’un côté, le nougat, tendre et fondant, apporte une douceur sucrée irrésistible. De l’autre, les M&M’s ajoutent une touche de croquant et leur célèbre goût chocolaté, le tout enveloppé dans des couleurs vives. Ce duo surprenant est parfait pour une pause gourmande ou pour impressionner vos invités lors d’un dessert original.


✅ Comment est fabriqué le Nougat M&M's ?

Le Nougat M&M's est constitué de miel, blancs d'œufs, sucre, amandes ou noisettes, et bien sûr des M&M's.


✅ Recette du nougat M&M's

◾Faites chauffer le miel et le sucre jusqu’à obtenir un caramel léger.
◾Incorporez délicatement les blancs d'œufs battus en neige pour obtenir une consistance mousseuse.
◾Ajoutez les fruits secs pour donner une touche traditionnelle au nougat.
◾Ajout des M&M's
◾Incorporez les M&M’s à la préparation encore tiède pour qu’ils restent intacts.
◾Versez le tout dans un moule et laissez refroidir.

Résultat : un nougat riche en saveurs, sublimé par le croquant chocolaté des M&M's !

✅ Pourquoi adopter le Nougat M&M's ?

C'est un dessert original : le Nougat M&M's surprend par son aspect coloré et sa texture contrastée. Adapté à toutes les occasions, que ce soit pour une fête, un goûter d’anniversaire ou un cadeau gourmand, il fait sensation à coup sûr.


✅ Personnalisable : vous pouvez varier les types de fruits secs, ou même utiliser différentes variétés de M&M's, comme les M&M's Peanut ou Crispy, pour encore plus d’originalité.

✅ Commandez en ligne notre Nougat M&M's ⬇️

La troisième Core Update majeure de Google pour 2024 a été lancée, poursuivant l’objectif de raffiner la manière dont le moteur de recherche évalue et classe les contenus sur le web.

Comme pour les autres mises à jour principales (Core Updates), Google vise principalement à améliorer la pertinence des résultats pour les utilisateurs en révisant ses critères d’évaluation de la qualité des sites et des pages.

Points clés de cette mise à jour :

1. Amélioration de la pertinence

Google continue d’affiner son algorithme pour mieux aligner les résultats de recherche avec les intentions des utilisateurs. La mise à jour pourrait affecter les pages qui n’offrent pas une réponse précise ou un contenu de haute qualité correspondant aux requêtes des utilisateurs.

2. Impact sur le SEO

Les Core Updates sont souvent suivies de fluctuations importantes dans les positions des sites. Certains sites peuvent enregistrer une hausse ou une baisse de trafic en fonction de la façon dont Google perçoit leur qualité globale.

3. Qualité du contenu et E-E-A-T

L’algorithme renforce l’importance de la qualité du contenu et des critères E-E-A-T (Expertise, Expérience, Autorité, et Confiance). Les sites qui respectent mieux ces critères sont davantage susceptibles de se voir favorisés par cette mise à jour.

4. Focus sur la transparence et l’utilité

Google privilégie les contenus qui non seulement sont utiles et bien structurés, mais aussi transparents sur leur provenance, comme la clarté des auteurs et des sources d’information.

Conseils pour s’adapter

- Audit de contenu
Analyser et améliorer les contenus existants pour s’assurer qu’ils répondent aux attentes de l’utilisateur et respectent les critères E-E-A-T.

- Optimisation technique
Veiller à ce que la performance technique des pages (temps de chargement, compatibilité mobile, etc.) soit optimale.

- Analyse des performances
Surveiller les changements de position des pages et ajuster les stratégies SEO si nécessaire pour minimiser l’impact potentiel sur le trafic.

Comme pour chaque Core Update, Google rappelle que les modifications dans le classement ne sont pas dues à des sanctions contre les sites, mais plutôt au raffinement de l’algorithme pour présenter les informations les plus pertinentes possibles. Les webmasters et spécialistes SEO sont encouragés à privilégier des pratiques de SEO de haute qualité et à créer du contenu qui apporte une réelle valeur ajoutée aux utilisateurs.

Les statistiques des trois sites web montrent des dynamiques distinctes dans leurs canaux d'acquisition d'utilisateurs, ce qui permet d'analyser à la fois les aspects quantitatifs et qualitatifs de leur performance.

✅ Aurélie ARNAUD - Avocat en Droit du Travail
Total utilisateurs : 7 524
Référencement naturel : 6 649 utilisateurs (88% du total)
Direct : 590 utilisateurs (8%)
Annonces sponsorisées : 162 utilisateurs (2%)
Non attribué : 60 utilisateurs
Sites référents : 46 utilisateurs (moins de 1%)
Réseaux sociaux : 19 utilisateurs

🔵 ANALYSES
🟣 Quantitative
Le site bénéficie principalement du référencement naturel avec 88% des utilisateurs provenant de ce canal.

Le trafic direct représente une petite proportion, ce qui peut indiquer que la majorité des utilisateurs accèdent au site par des recherches organiques, ce qui est très positif pour la visibilité SEO.

Les annonces sponsorisées jouent un rôle mineur mais toujours significatif, apportant 162 utilisateurs.

🔴 Qualitative
Le faible engagement des réseaux sociaux (19 utilisateurs) montre qu’il pourrait y avoir une opportunité à renforcer ce canal.

Le temps moyen de visite est d'environ une minute pour la plupart des canaux, ce qui suggère que les utilisateurs trouvent probablement l’information qu’ils recherchent assez rapidement.


✅ L'Instinct Auto
Total utilisateurs : 224
Référencement naturel : 117 utilisateurs (52% du total)
Direct : 88 utilisateurs (39%)
Réseaux sociaux : 11 utilisateurs
Sites référents : 7 utilisateurs
Non attribué : 1 utilisateur

🔵ANALYSES
🟣 Quantitative
Contrairement au site précédent, le trafic est plus équilibré entre le référencement naturel et les visites directes. Cela montre une forte proportion d'utilisateurs qui connaissent probablement déjà la marque ou le site et y accèdent directement.

🔴 Qualitative
Le temps de visite est plus court (54 secondes en moyenne), suggérant que les utilisateurs trouvent rapidement ce qu’ils recherchent. Toutefois, les réseaux sociaux et les sites référents semblent sous-exploités et pourraient être développés pour attirer plus de trafic.

✅ Paye Ton Burger
Total utilisateurs : 327
Référencement naturel : 244 utilisateurs (75% du total)
Direct : 79 utilisateurs (24%)
Non attribué : 3 utilisateurs
Réseaux sociaux : 2 utilisateurs

🔵 ANALYSES
🟣 Quantitative
Le site bénéficie également d’un excellent référencement naturel, représentant 75% de son trafic. Le trafic direct représente une part importante, mais très peu d’utilisateurs proviennent des réseaux sociaux (seulement 2).

🔴 Qualitative
Le temps moyen passé sur le site est relativement court (30 secondes), ce qui pourrait indiquer que les utilisateurs accèdent rapidement à l'information souhaitée. Cependant, le faible apport des réseaux sociaux montre une marge d’amélioration, car le canal pourrait être plus utilisé pour générer du trafic, notamment dans un secteur comme la restauration où les visuels et promotions peuvent jouer un rôle clé.

▶️ CONCLUSIONS
Le référencement naturel est le principal canal d'acquisition pour tous les sites, ce qui démontre une forte performance SEO. Aurélie ARNAUD en tire un bénéfice considérable avec 88% du trafic.

Le trafic direct est également significatif pour les sites comme L'Instinct Auto (39%) et Paye Ton Burger (24%), ce qui reflète une notoriété déjà installée auprès des utilisateurs.
Les réseaux sociaux sont sous-exploités sur les trois sites, surtout pour des secteurs où le visuel ou la proximité avec le public est clé (ex: restauration).

Ces observations soulignent l’importance du SEO dans la stratégie d'acquisition, tout en mettant en évidence des opportunités de développement dans d'autres canaux pour maximiser le potentiel de chaque site.

Les liens ne figurent plus parmi les critères clés pour classer les pages dans les SERP : c’est ce que Google avait répété maintes fois ! Est-ce pour nous berner ? Il avait d’ailleurs déclaré que même avec un nombre limité de backlinks, un site pouvait obtenir de bons classements… Mais les professionnels du SEO croyaient peu à […]