Copiée par Temu, cette entreprise doit mettre la clé sous la porte

C’est dégueulasse et dangereux.

Google pervertit la réalité en argumentant qu’il apporte du trafic aux articles de presse, comme si Google servait, à sens unique, les journaux français.

Mais avant Google, les journaux existaient et c’est en récupérant les articles des journaux, comme il récupère toutes les pages du web et tous les contenus qui relèvent du droit d’auteur, que Google a plus d’audience, et avec Google actualités également. Google est un site sur Internet.

La source du web vient de ceux qui créent des sites, des pages, pas de Google qui pille le web.

Lisez l’article

Depuis un an et le vote de la loi sur les droits voisins, les éditeurs de presse français se livrent à un bras de fer avec Google pour faire appliquer la loi. Malgré les injonctions de l’Autorité de la concurrence qui demande à Google de négocier, le géant américain tente de tourner la règle à...
https://www.elle.fr/Societe/News/Droits-voisins-le-bras-de-fer-continue-Pourquoi-Daniel-Kretinsky-ne-signera-pas-l-accord-avec-Google-3890722

Suite à une enquête des services de la concurrence, consommation et répression des fraudes (CCRF), le directeur départemental de la protection des populations du Maine et Loire a prononcé une amende administrative de 19 000 euros à l'encontre de la SAS NCB HOLDING, enseigne « Maison Bécam », exploitant le site internet https://maisonbecam.com, pour les manquements suivants

défaut d'information du consommateur sur son droit à s'inscrire sur la liste d'opposition au démarchage téléphonique ;
présence dans les conditions générales de vente de clauses devant être regardées, de manière irréfragable, comme abusives ;
défaut d'information préalable sur le droit de rétractation, notamment absence du formulaire type de rétractation ;
défaut de confirmation du contrat sur un support durable ;
défaut d'information sur les garanties légales ;
défaut de communication au consommateur des coordonnées du médiateur de la consommation

Carabelle Studio exportait des milliers de produits dans 47 pays. Mais en quelques mois, des modèles identiques à ceux que l’entreprise proposait sont apparus sur Temu. Il suffit de se rendre sur la plateforme du site chinois pour retrouver les tampons français grossièrement copiés, mais vendus entre 1,50 et 2 euros, soit huit fois moins cher que le Français. Des prix qui séduisent, puisque sur un modèle par exemple, Alexis Toupet constate 150 ventes rien qu’en une journée. Résultat, Carabelle Studio doit fermer, et sept salariés en CDI ont dû être licenciés.